18+
Le Échafaud ouralien

Бесплатный фрагмент - Le Échafaud ouralien

Documentaire l’investigation. Analyse comparative

Объем: 445 бумажных стр.

Формат: epub, fb2, pdfRead, mobi

Подробнее

Je remercie l’époux pour l’aide dans choix de matériau et dans rédaction de manuscrit et, encore, remercie pour compréhension.

La préhistoire

Cent ans en arrière dans la ville d’Ekaterinbourg étaient fusillés onze gens innocents. Beaucoup d’âmes innocentes étaient brûlées dans le feu de la révolution. Mais il un “l’oint de Dieu” seulement. Et le fils son héritier du trône, aussi le seul dans toute la Russie. Ils ont acquis déjà la sainteté, mais jusqu’ici n’est pas connue toute la vérité de leur meurtre.

En vivant à présent dans Ekaterinbourg je veux comprendre la question séculaire sur le meurtre du dernier tsar russe.

L’auteur utilisait dans le travail les documents de l’instruction définitive d’amiral Koltchak, de qui s’occupait le juge d’instruction de par les plus importantes affaires de la cour d’Omsk Nikolaï Alexéévitch Sokolov. Les tomes de l’affaire criminelle étaient copiés et se trouvaient dans de différentes mains, grâce à quoi ils ont pu filtrer jusqu’à nous. Les possesseurs des documents de l’affaire publiaient à l’étranger les livres. Les éditions d’émigrants boitent à cause de l’opinion préconçue tout à fait claire, plus tardives les éditions nationales souffrent à cause de falsifications. Dans la première édition Parisienne 1924 d’année sont particulièrement bonnes les photos de Robert Alfredovitch Vilton et les cartes. Les photos dès téléécran ont permis de recevoir les premières cartes du terrain de l’instruction définitive de Sokolov. Puis dans Internet étaient trouvés les cartes des chemins de fer et les cartes des usines d’Oural XIX de siècle.

Les meilleurs adjoints sont les historiens et les journalistes s’appuyant seulement sur les documents d’archives et les récits impartiaux des témoins.

Ivan Fedorovitch Plotnikov était l’historien le plus compétent de la guerre civile sur l’Oural. Il avait l’accès vers les documents de soixante archives de notre pays. Il est impossible de surestimer les documents d’I.F. Plotnikov.

Au temps de travail avec les documents tout était mis en doute. Si le fait se rencontre indépendamment une fois il n’est pas pris en considération. Seulement alors, quand le même événement est éclairé par deux ou quelques témoins ou on bâtit la succession logiquement exacte des événements l’auteur peut leur croire.

Parfois il faut utiliser les rumeurs comme les compléments ou les preuves indirectes. L’auteur trouve qu’il n’y a pas de feu sans fumée, et ils ne naissent pas à la place vide. Il est nécessaire de voir la différence entre les rumeurs et les falsifications.

En s’immergeant dans l’étude des documents, tu commences bientôt à comprendre les motifs des personnages et par conséquent celles directions-là, où ils peuvent changer les renseignements ou les événements. La lecture des manuscrits et les documents d’archives donne une grande aide dans cela. Dans la ville régionale il est toujours possible de prendre connaissance des documents d’archives.

Il est difficile de lire les manuscrits de tels monstres comme Yourovski. En plus, il écrit les souvenirs par “le pointillé de par l’anneau”. Dans la narration il crée constamment les fenêtres-intervalles pour les sujets abstraits, puis, par-dessus certain temps il revient vers l’énoncé de l’événement. Et ainsi plusieurs fois. Puis il revient à la commencement de récit, et quelque chose dans lui modifie. Il est très difficile de lire, mais est encore plus complexe, comprendre. Aussi, certaines pages peuvent se répéter avec les changements insignifiants.

Et, comment à vous, ce? “… Chez Vous pour ce existe le fondation (la participation au meurtre de Mikhaïl Romanov). Le continuité de présentation recours au sujet de pension personnelle Vous indiqueront dans le Comité Régional du parti…” Les pages lues ne sont pas devenues les poumons pour l’auteur, mais devient clair, pourquoi “les héros” écrivaient de nombreux souvenirs.

Dans le village Koptiaki se sont gardées encore les maisons séculaires, où vivaient les paysans aidant l’instruction définitive de N.A. Sokolov. Le village Koptiaki, le couvent sur De Gania fosse, le De Porcelet ravin — tout se trouve sur la distance accessible. La possibilité de visiter le lieu d’inhumations, par propres yeux tout voir donne le stimulant vers l’enquête de ce crime et la nourriture pour lui-même du d’enquête. Maintenant telle possibilité a surgis et chez vous…

1. Les protagonistes et les exécuteurs

Quand sur l’Oural s’allumait l’incendie de la guerre civile, à Moscou on élaborait le plan d’anéantissement physique de toute la dynastie des Romanov. Les chefs de révolution militaire à Petrograd rêvaient de la gloire des héros de la Grande révolution française. Décapiter et suspendre sur les poteaux, étaient il y a longtemps leurs par les locutions à l’égard de les personnes dynastiques. Mais quand les leaders du prolétariat mondial ont reçu présent pouvoir sur des destins de toutes des hommes tellement à eux des haïssables, jouer franc jeu eux ne se sont pas décidés.

Au siècle XX n’érigeaient pas déjà les échafauds. Et comment tuer le tsarévitch publiquement malade? Ainsi ils pouvaient perdre soi-même le pouvoir. C’est pourquoi on élaborait l’opération secrète. Nous rechercherons ceux qui a organisé et a accompli ce crime…

Le wagon plombé

De journal intime d’Impératrice-de mère de Maria Fedorovna: “… Le 27 octobre (1917.). [Vendredi]. Les rumeurs se sont confirmées. Les bolcheviques ont évincé le gouvernement et l’ont saisi, de sorte que tout le pouvoir maintenant chez eux… Étaient élus 14 bolcheviques, parmi eux: Lénine, Zinovev, Trotski et les autres. Tout ils les juifs sous les faux noms… Les Allemands ont transporté de Lénine à la Russie en wagon plombé. Quelle bassesse, quel spectacle brillant ils ont joué, ces gredins…”

Beaucoup d’années la mère de Nikolaï II ne voulait pas croire à ce que les fils et le petit-fils ont péri sur l’Oural. Elle s’est trouvée dans ce cas les droits: notamment ces gens seront les bourreaux de proches. Ils joueront le spectacle “sanglant”, et les passagers du wagonplombé” seront ses principaux metteurs en scène.

Photo 1. V.I. Oulianov (Lenine). Stockholm-Petrograd 1917.

Leurs listes existent dans quelques variantes.

Les listes du journal de V. Bourtsev “L’affaire Totale” de 14.10.1917 et de 16.10.1917:

1. Oulianov, Vladimir Ilich, est né 22 le [10 avril 1870, Simbirsk. 2. Suliashvili, David Sokratovich, est né le 8 mars 1884, Suram, la province de Tiflis. 3. Oulianova, Nadejda Konstantinovna, est née le 14 février 1869 à Petrograd. 4. Armand, Inessa Fedorovna, est née en 1874 à Paris. 5. Safarov, Gueorgui Ivanovich, est né le 3 novembre 1891 à Petrograd. 6. Mortochkina, Valentina Sergueevna, est née le 28 février 1891. 7. Kharitonov, Moiseï Motkov, est né le 17 février 1887 à Nikolaev. … 11. Ravvitch, Sarra Naoumovna, est née le 1 août 1879 à Vitebsk…

Le parti ouvrier russe social-démocrate (PORSD): … 11. … Voïkov, Petr Grigorevich [Lazarevich]…

Les listes du ouvrage de Nikolaï Starikov “1917 Février. La révolution ou l’opération spéciale?”:

1. Oulianov Vladimir Ilich; 2. Sulishvili David Sokratovich; 3. Oulianova Nadejda Konstantinovna; 4. Armand Inessa Fedorovna; 5. Safarov Gueorgui Ivanovich; 6. Safarova-Martoshkina Valentina Sergueevna; 7… 11. Ravvich Lat Naumovna…

Dans la liste suédoise il y a Karl Sobelson (Radek) qui resta à Stockholm.

De Moiseï Kharitonov, de Karl Radek et Olga Ravitch des souvenirs nous apprenons les gens les plus proches de Ilitch.

M.M. Kharitonov à “l’Exposé sur la révolution de février” est écrit: “… De membres de notre parti sont allés: Lenine, N.K. Kroupski, G.E. Zinovev, Zinaida Lilina, Inessa Armand, G. Safarov, Gr. Oussievich, Olga Ravich, Abramovich, Valia Safarova… et moi. En outre avec nous sont allés les camarades de Radek, … En tous 30 personnes…”

N.K. Kroupski “Le départ à la Russie”: “… Nous partions (Nadejda Kroupski et Vladimir Oulianov — auteur), les Zinovev, les Oussievich, Inessa Armand, les Safarov, Olga Ravich…”

“… Dans les wagons nous nous installons vite sous l’observation attentive de Vladimir Ilich. Le plus actif Radek qui partait avec nous confidentiellement est placé par nous pour un certain temps dans le compartiment du bagage. Auprès de tout le désir — créer l’entourage tranquille, pour ne pas empêcher à V.I. de travailler, de rien ne sortait pas. Le bruit se trouvait considérable. Par principaux coupables étaient c.c. (les camarades — auteur) Safarov, Kharitonov, feu Oussievich, moi et feue Inessa…”

“… Quand nous nous installions dans le wagon, a commencé le remue-ménage avec Vladimir Ilich. Nous avec Nadejda Konstantinovna l’avons placé à la compartiment spécial (contre quoi il exprimait la protestation) pour lui donner la possibilité tranquillement de travailler. Mais nous ne avons pas donné lui de la possibilité de travailler chemin faisant! Dans le compartiment voisin étions Safarov avec lépouse; Olga Ravitch, Inessa Armand et moi. Nous avec Safarov alors ne nous querellions pas au sujet de l’opportunisme, mais quand même dans le wagon était beaucoup de bruit…”

Si Karl Radek était caché dans le wagon pour les négociations secrètes de la part de Lénine à la Stockholm, Safarov était profondément caché à l’intérieur de l’opération spéciale du meurtre de la famille impériale russe dans Ekaterinbourg.

Il va avec une jeune épouse Valia Safarova (le nom de jeune fille est déformé) dans le compartiment avec la meilleure amie de Vladimir Ilich par Inessa Armand. Dans la lettre Oulianov (Lénine) écrit à Inessa Armand du 19 mars 1917: “… Je tenterai de persuader Valia aller (elle est venue samedi chez nous après que l’année n’était pas!). Mais elle insuffisamment s’intéresse à la révolution…” Il s’agit de Valentina l’épouse de Safarov comme de la personne proche pour tous les deux.

Dans toutes les listes et les souvenirs les Safarov se trouvent près de Lénine et Inessa Armand. Dans quoi la raison d’une telle proximité? Pour l’amitié l’âge ne correspond pas, pour la parenté les noms ne sont pas identiques, mais, je pense que le lien entre eux non accidentel.

Cette haute protection fut utile à Safarov en 1921.

Ivan Fedorovitch Plotnikov: “… En rapport avec la participation aux répressions cruelles a provoqué le mécontentement parmi la population… Ont ordonné d’arriver à Moscou… Est protégé par Lénine…”

Photo 2. Safarov-Voïkov.

Encore un passager “du wagon plombé” sous №11 dans la liste des membres PORSD Petr Grigorevich [Lazarevich] Voïkov est devenu le deuxième principal participant de de massacre de la famille du tsar ancien.

De les témoignages du Prince Gueorgui Evguenevich Lvov le Président du Conseil des ministres du gouvernement provisoire: “… Sur Voïkov disaient qu’il est lié par quelques relations personnelles (presque de la parenté) avec Lénine…”

Nous ne pourrons pas éclaircir qui était en effet le parent de Lénine.

Deux personnes de très proches d’Oulianov Vladimir Ilich (Lénine) se expédient sur Oural — Safarov Gueorgi Ivanovich et Voïkov Petr Lazarevich.

Les émigrants

D’abord parlons de Safarov. À cause de la proximité vers leader son nom est plus rare que les autres se rencontre dans les documents publiés.

Le journal “l’Ouvrier d’Oural” de 23 juillet 1918. L’organe du Parti communiste (de bolcheviques) d’Ekaterinbourg et région.

“… La volonté de la révolution était exécutée, bien que auprès de cela et on violait plusieurs parties formelles de la procédure juridictionnelle bourgeoise… ‘Safarov G. …’”

La volonté de la révolution est une volonté de son Leader; Safarov a divulgué le secret. Il se rappellera dans les chambres de torture de CAIP (de commissariat des affaires intérieures de peuple) les normes supprimées par lui de la procédure juridictionnelle, mais sera tard.

Maintenant parlons de Voïkov.

De Pavel Mikhaïlovitch Bykov de membre de Soviet de région d’Oural de par les souvenirs en 1918: “… À la fin de novembre 1917 est introduit dans la composition du Soviet Voïkov…“Déjà le 14 décembre 1917 Lénine acceptera le Décret sur la nationalisation des banques.

“D’Y.M. Yourovski de Sténogramme des souvenirs sur les événements révolutionnaires à 1907—1918” de 14 janvier 1934 (la ville d’Ekaterinbourg): “… à camarade Voïkov (puisque, alors il étant le commissaire de l’approvisionnement, était simultanément et par commissaire de la banque nationale). En ce qui concerne la nationalisation des banques, puisque les directeurs des banques résistaient, les ont invité à la séance du Comité exécutif, ils étaient arrêtés jusqu’au moment de la transmission par ceux-ci des clés etc.). Et alors, tant de je me rappelle, les banques par nous étaient nationalisées”.

Le nom Safarov se rencontre presque partout dans le duo avec le nom de Tolmatchev. Les jeunes, les formés, ils pouvaient devenir amis.

Photo 3. Tolmatchev-Safarov.

I.F. Plotnikov: “… Dimanche, le 21 juillet, dans un nouveau théâtre municipal on organisait le meeting, comme était affiché, — ‘de par moment courant’. À titre des tribuns il y avait des communistes influents (G.I. Safarov, N.G. Tolmatchev…)”

Le preuve testimoniale de Petr Illarionovich Lylov: “… À l’époque où les bolcheviques se sauvaient, toutes les valises étaient dévastées et étaient remplis par l’argent. Le président du Soviet Beloborodov, son camarade le Juif Safarov et les membres (du Soviet — auteur) — deux frères les Tolmatchev, et le secrétaire — le lieutenant Moutnykh ont fait cela…

…Et là, dans le local de la banque de Volga et Kama, dans les coffres et dans les valises d’I.L. Tatishchev, de V.A. Dolgoroukov (de Dolgorouki — auteur), d’A.V. Guendrikova et des d’autres personnes d’entourage des prisonniers Romanov, fouillaient “les amateurs des valeurs”, et non quelqu’un, mais les leaders locaux. Voici, dans coffre de Guendrikova, semi-dévasté, s’est trouvé le document adressé à G.I. Safarov, en toute hâte, évidemment, perdu par lui…”

I.F. Plotnikov: “… Gueorgui Gourevich Tolmatchev était le membre de soviet régional, mais son frère plus connu Nikolaï Gourevich (1895—1919) alors était parmi cinq membres de Présidence de soviet…”

Le projet du document découvert par instruction définitive: “le Porteur de celui-ci le camarade Tolmatchev Gueorgui Gourevich le mandataire de la Présidence du Soviet régional de Ouvriers, les députés paysans et de les députés de l’armée accompagner les papiers évacués d’Ekaterinbourg et les sommes d’argent de la Présidence du Soviet régional. La place de l’arrêt est connue au camarade Tolmatchev. Tous les militaires et les autorités civiles et les organisations ferroviaires doivent aider dans tout au camarade Tolmatchev. Le Président du Soviet régional”.

Ensuite parlons de Didkovski.

Photo 4.Didkovski.

Boris Vladimirovitch Didkovski.

Nikolaï Alexeevitch Sokolov: “Boris Vladimirovitch Didkovski était, probablement, l’émigrant et vivait dans la Suisse. Il était proche de Dioupark professeur de la géologie et était auprès de lui par collectionneur…”

Marc Konstantinovitch Kasvinov dans le livre “Vingt trois les marches en bas”, en s’appuyant sur les sources archives, parle de Didkovski: “… En Suisse… écoutait de V.I. Lénine, s’est lié d’amitié avec P.L. Voïkov…”

Didkovski se spécialisait sur le pillage des membres de la famille tsariste et des gens leurs de accompagnant.

Terenti Ivanovitch Tchemodourov le valet de chambre du Souverain ancien a raconté de la perquisition passée dans la maison de l’ingénieur Ipatiev: “… À cette remarque Didkovski a répondu rudement:" Je demande de ne pas oublier que Vous êtes attirés à la responsabilité judiciaire et l’arrestation…” Didkovski pas moins de quatre fois par semaine produisait le contrôle, de visiter toutes les pièces…”

“… Le 6 -7 mai (de par l’ancien style) Didkovski est venu à la maison et a proposé à tous les prisonniers d’annoncer chez qui et combien est eu de l’argent… Dans ce que chez moi ont pris l’argent, Didkovski m’a donné le reçu…”

Le lieutenant I. Tolstooukhov: “… Général I.L. Tatichtchev le 10-ème juillet, selon le papier spécial signé de Beloborodov et Didkovski, devait laisser à 24 heures les limites de oblast Ouralienne. De par les rumeurs reçues le lendemain, chez les surveillants, le général I.L. Tatichtchev et le prince Dolgorouki étaient trouvés derrière le cimetière Ivanovski par les tués. On ne sont pas établis exactement la mort, ou plus exactement le meurtre, de l’un et l’autre. Seulement la quittance, trouvée sur l’un des cadavres en nom de citoyen Dolgorouki de confiscation par Didkovski 79 mille roubles, et la quittance de Tchoutskaev de confiscation de deux revolvers, ont permis de supposer que les tués étaient notamment le général I.L. Tatichtchev et pr. Dolgorouki…”

Le prince Lvov cela aussi confirme.

Le prince Gueorgui Evguenevitch Lvov: “… Le Prince Dolgorouki, étant dans la prison, s’affligeait terriblement au sujet du retrait chez lui par commissaire de notre prison de l’argent tsariste au total 78 ou 87 mille roubles…”

De par le même schéma à Alapaevsk à la veille du meurtre, on pillait tous les grands-ducs et des gens leurs accompagnant. Les quittances sont restés aussi chez tués. De Alapaevsk la trace conduit en Ekaterinbourg à Safarov.

Flegont Kabakov: “… Encore je connais qu’en août on convoquait la commission, qui a décrit les choses appartenant aux princes; les choses meilleurs sont restés chez le Président de la commission d’enquête de Nikolaï Govyrine, mais les pires ont transmis à la Société des Consommateurs pour la vente.

Il y avait des rumeurs, que Safarov étant dans le Comité Régional, dirigeait toute l’affaire…”

Le participant des événements d’Alapaevsk “… Startskev a expliqué que le meurtre des prisonniers Augustes s’est passé sur l’ordre d’Ekaterinbourg, que pour la gestion de lui, Safarov est arrivé spécialement de là…”

Didkovski faisait les perquisitions, prenait l’argent et donnait avec la signature du quittances. Les frères Tolmatchev bourraient les valises et transportaient l’argent. Par l’organisateur caché était Safarov.

Sergeï Nikolaevitch Smirnov le secrétaire de la reine serbe Elena, est prisonnier par CE (par Commission Extraordinaire): “… Quelques commissaires venaient à nous. Je les connais peu. Je me rappelle par de trois. C'était les Juifs absolus de par l’apparence, et de par la réprimande. Ils parlaient anglais racontaient qu’ils étaient les émigrants et vivaient, me semble, en Amérique ou en Angleterre…”

Nous pouvons supposer que ces commissaires étaient Safarov, Voïkov et Didkovski. Safarov avec Voïkov et Didkovski contrôlaient les prisonniers.

Photo 5. Voïkov-Safarov-Didkovski.

Donc, c’était les acteurs de Genève dans le spectacle De Lénine. Ensuite, nous passerons vers les acteurs d’Oural.

Golochtchekine sans doutes — le partisan des mêmes idées, d’eux (de terribles, impitoyables — de Beloborodov, de Tolmatchev, de Safarov et de Didkovski…", — ainsi I.F. Plotnikov l’historien d’eux caractérise.

Golochtchekine, Voïkov et Didkovski ont reçu les certificats des membres de CE.

“… Ekaterinbourg le 6 mai 1918. Le CERTIFICAT. Le porteur de cela le membre du Comité exécutif des Soviets de l’Oural Pert Lazarevitch Voïkov le membre de la commission Extraordinaire parmi trois personnes, qui était organisée par le Soviet Régional pour l’organisation de l’observation et la garde du tsar ancien Romanov et se famille. LE PRÉSIDENT DU SOVIET DES DÉPUTÉS DES OUVRIERS, DES PAYSANS ET DES SOLDATS D’OURAL

La signature Beloborodov…”

Photo 6. Voïkov-Golochtchekine-Didkovski.

L’amitié ouralienne

Notamment Golochtchekine a aidé Lénine dans la lutte pour la place du leader à l’intérieur du parti. Ils déplacent L.B. Kamenev du poste du président CECT (“Le Comité Exécutif Central (du parti communiste — auteur) de la Russie-Totale”) et mettent là-bas l’ami personnel de Golochtchekine, qui était ensemble avec lui en exil de bolchevique-propagandiste de l’Oural d’Y.M. Sverdlov.

…Sverdlov et Golochtchekine “sont liés non seulement par la communion d’idées, mais et l’amitié personnelle, " — écrivait l’épouse de Sverdlov aux “Souvenirs”.

Le 21 novembre 1917 Yakov Mikhaïlovitch Sverdlov devient le président CECT.

Un des meilleurs historiens de la guerre civile sur l’Oural I.F. Plotnikov: “… Malgré les énonciations peu nombreuses en ce qui concerne la nécessité de la cour de Tsar ancien, et l’aspiration visible dans cela, chez Lénine n’était pas d’intention d’organiser la cour en fait, en réalité il a fait tout pour que de celui-ci ne pas admettre. Tout était prédéterminé par ce qu’il confisque l’affaire des Romanov d’entre la compétence de CECT, et conduit de contrôle individuel. Sur les questions de la nécessité de tribunal en hiver, en printemps et en l’été 1918, il répondait par les affirmations de l’inopportunité de tribunal. Famille ancienne Tsariste et ses proches, le sous de différents prétextes étaient simplement exterminés physiquement. De plus, Lénine, comme dans les cas des plusieurs autres, agissait secrètement, tâchait de démontrer non la participation à cette affaire. La Famille Tsariste était tuée selon sa dordre secret, transmis par-dessus Y.M. Sverdlov, de divisant l’opinion de Lénine, mais de agissant moins confidentiellement…”

D’abord parlons de Golochtchekine.

Golochtchekine Philipp Issaevitch.

Le prince Lvov: “… M’interrogeait, comme j’ai dit déjà, la commission…, en la composition des commissaires: de la Justice Poliakov, l’Education Tchoutskaev et le Militaire Golochtchekine… Le commissaire de l’approvisionnement Voïkov… J’avec la persuasion complète affirme, à la composition de cette commission des Poliakov et Tchoutskaev étaient les pions. Ils ne jouaient pas aucun rôle, par le pouvoir, probablement, ne possédaient pas. Les principales personnes à la Commission étaient Golochtchekine et Voïkov. Ainsi d’ailleurs, disaient d’eux et l’administration de prison et les soldats de l’Armée rouge…”

Sergeï Nikolaevitch Smirnov: “… De Golochtchekine je voyais dans la prison de Perm. Je voyais ses deux fois. Pour la première fois il était dans la prison dans la société de quelques autres commissaires, en visitant les cachots, il était et chez nous. Je connais positivement qu’à cet visite on résolvait la question sur celui-là, qui sera fusillé. Golochtchekine était une principale personne dans cette commission.

À une deuxième fois il était chez nous dans de cachot en compagnie de quelque commissaire local, et ce commissaire local faisait l’exposé à Golochtchekine, quels prisonniers et pourquoi sont assis. Évidemment il était par la principale personne…”

La trace de Perm conduit aussi dans Ekaterinbourg à Golochtchekine.

Yourovski: “… À propos dire, tous les anciens alors à Ekaterinbourg les leaders se rapportaient à Philipp hostilement, en le grondant par ‘ressortissant fidèlede Lénine…”

On peut supposer que Yourovski dit notamment de Safarov et Voïkov, comme de les leaders, arrivés à Ekaterinbourg.

La première tentative de tuer Nikolaï II était entreprise par le Soviet régional d’Oural encore en avril 1918 auprès de déménagement de la partie de la famille tsariste à la Ekaterinbourg. Elle s’est trouvée infructueuse, était présentée le tort à Golochtchekine.

“… Eh bien; que nous raconte le commissaire militaire, comme c’est arrivé que de Nikolaï chez lui de dessous le nez est emmenaient etc… Les plus par brusques et offensifs il y avait des camarades Safarov, Voïkov etc… de les gens, orientés comme les séparatistes locales vers la personne de centre et de l’État, s’est fait sentir avec la force particulière sur cet actif…”

Photo 7. Sverdlov-Golochtchekine.

En organisant sur l’actif du parti de la lavage de tête pour Golochtchekine au sujet de l’échec de l’opération du meurtre du tsar ancien, Safarov et Voïkov jouent le spectacle suivant. De des émigrants d’hier, Yourovski appelle par “les séparatistes locales”. Golochtchekine exécute parti “d’en passant d’invité entrant” de centre qui insiste sur le sauvetage de Nikolaï et de lui de mise en jugement. Le spectacle se prolonge…

Maintenant parlons de Sverdlov.

Sverdlov Yakov Mikhaïlovitch.

À la réorganisation du parti les révolutionnaires professionnels étaient remplacés graduellement par les extrémistes, pour comprendre cela, nous nous rappellerons la biographie de Lénine.

I.F. Plotnikov: “… avec le début de la révolution 1905—1907… Lénine n’a pas pu se manifester comme le leader reconnu et a émigré de nouveau. À la révolution et après elle ont reçu la plus large diffusion encouragés par lui les attentats terroristes et les expropriations, en disant plus facilement, le banditisme; il était une de principales sources de rentrée de moyens en caisse bolchevique du parti…”

Voici d’où est venu à CECT Sverdlov.

“D’Ermakov P. Z. le curriculum vitae et les souvenirs sur meurtre du tsar ancien”: “… En 1906 Yakov Mikhaïlovitch Sverdlov est venu sur l’Oural, le camarade Andreï / j’avais avec lui le lien, après les entretiens avec lui, chez moi on définissait entièrement ma conception du monde, et je suis entré dans le parti PC/b (de Parti Communiste / de bolcheviques, c’est-à-dire de majorité — auteur) en janvier 1906. Était inséré dans le cercle, par qui dirigeait c. Sverdlov (le camarade Sverdlov — auteur) /Andreï /…En 1906 par c. Sverdlov on ouvrait une école de combattants, dans laquelle j’étais aussi introduit à titre du combattant. Dans elle enseignaient, comme il faut agir par l’arme, dont disposaient. J'à l’usine préparais les boîtes pour les bombes…”

Selon dossiers d’instruction définitive: “… de Zoudikhine:" je connaissais Ermakov de par Verkh-Issetsk. Il s’occupait il y a longtemps encore des pillages sur grands chemins, à acquérir par une telle voie l’argent. Il était déporté sur le travaux forcés et se trouvait en exil…””

Ermakov Petr Zakharovitch le serrurier de UVI (d’usine Verkh-Issetski — auteur): “… En août 1907 j’étais arrêté à Sverdlovsk de par le soupçon dans meurtre du provocateur de Nikolaï Erine, de par surnom: ‘Estival’… j’ai accepté la participation active à son meurtre…”

I.F. Plotnikov dit de Ermakov: “… Participait aux meurtres, y compris de gendarme de qui il a décapité. À 1907 est appelé en justice de par l’accusation dans le meurtre, dans un an s’est libéré, car la faute pénale s’est chargé le combattant V. Krougliachov, qui était mis à mort dans la pendaison…”

Voici d’où pouvait apparaître la légende sur le compte de tsar décapité — le vrai coupe-jarret participait à d’inhumations sur la mine De Gania fosse. Voici eux “les aigles” de Sverdlov; voici celui-là qui a aidé à “décoller” à un jeune serrurier Petr Ermakov. Voici où le lien de Moscou avec “De Gania fosse” — Lénine-Sverdlov-Ermakov.

Nous reviendrons sur déclarations du paysan Zoudikhine: "...Par son adjoint était le matelot Stepan Vaganov (de Petr Ermakov — auteur), un petit dur et le vagabond illustre. Avec tous les deux il y avait en relations d’amitié commissaire Golochtchekine…”

Le nom de Vaganov se nous rencontrera encore.

Si Sverdlov s’occupait de la propagande et la création de l’école de combattants, Golochtchekine dirigeait par les commissaires de Verkh-Issetsk. Golochtchekine-Ermakov-Vaganov.

I.F. Plotnikov dit de Ermakov: “… Après Révolution de Février à UVI il crée de commando, s’occupant des confiscations, par l’extorsion; reçues ainsi les moyens étaient transmises au comité bolchevique…”

Des témoignages du paysan du village Koptiaki, Nikolaï Evgrafovitch Bojov qui dit de Ermakov: “… Je voyais souvent son avant la révolution bolchevique, par achetant l’arme au marché… Une fois il demandait de vente de l’arme et chez moi…”

Voici comme Bykov P. se rappelle cela temps: “… Les fabriques ouvrières de Zlokazov, les ouvriers du dépôt de locomotives, les ouvriers de l’usine Verkh-Issetski sont prêts à quitter le travail pour lutte en armes pour les soviets… Pour la recherche des moyens le Soviet inflige aux capitalistes locaux la contribution 10 millions de roubles, mais ont recueilli seulement 2 millions, qui et vont sur le renforcement de l’armée rouge…”

Les compatriotes de Vaganov ne lui ont pas pardonné ce de contribution, et il n’a pas pu s’enfuir de la ville.

De déclarations du paysan Nikolaï Evgrafovitch Bojov: “… Je vois la photo de Vaganov… Nous l’avons tué…”

Plus difficile découvrir la chaînette vers Yourovski. L’Allemagne et la région de Krasnodar — là il faut chercher la raison de choix notamment de lui sur la rôle du bourreau principal. Probablement, Yourovski encore avant la révolution a fait le meurtre de la famille entière, resté sans l’enquête. Par le plan initial du meurtre des membres de la famille tsariste il y avait la proposition de Yourovski égorger des toutes quand ils dorment dans les lits.

Il connaissait bien et Golochtchekine et Sverdlov et connaissait la langue très bien allemande. Si à titre des participants du meurtre tout de suite se planifiaient les prisonniers de guerre austro-hongrois, la possession par langue allemande était nécessaire à dirigeant de l’opération.

Photo 8. Yourovski.

Yakov Mikhaïlovitch Yourovski. Une fois il a signé par le nom Yourovskikh.

S.N. Smirnov: “… Était évident le rôle d’Yourovski à CE régionale (à la Commission Extraordinaire — auteur). Il était là un des dirigeants. En l’ombre se tenait Loukoïanov…”

Le Soviet régional d’Oural

Bien qu’à nous clair est qui remplaçait par soi le Soviet régional d’Oural il faut mentionner sa composition.

Liste du Soviet régional des députés:

(Est donné par le enseigne Selianine)

1) Beloborodov 2) Golochtchekine 3) Sakovitch 4) Voïkov 5) Bykov 6) Syromolotov 7) Safarov 8) Oukraintshev 9) Kisselev 10) Vaïner 11) Khotimski 12) Vorobiov 13) Andronnikov 14) Andreev 15) Simachko 16) Avdeev 17) Kariakin 18) Jilinski 19) Tchoufarov 20) Yourovski 21) Efremov 22) Anoutchine

Le sept de extraordinaires:

Tchoutskaev, Golochtchekine, Yourovski, Efremov…

Pavel Mikhaïlovitch Bykov le participant de la révolution D’Octobre à Petrograd, le membre de Présidence CECT, de travaillant sur l’Oural. Après guerre civile est devenu par journaliste et a laissé beaucoup de souvenirs. Dans archive CDOMRS (le Centre de la documentation des organisations de masse de la région de Sverdlovsk) de la ville Ekaterinbourg se trouve le manuscrit, signé “V. Bykov”.

Voici, que Bykov dit de les qualités personnelles des membres de Soviet: “… Safarov toujours sarcastique sage, Golochtchekine expansif, Voïkov, alternant par l’humour les mots, en jonglant par eux; ardent Khotimski, tranquilles et habiles en affaires Andronnikov, Poliakov, Tchoutskaev…

Dans le Soviet un grand travail se réalisait par camarades suivants: Andronnikov, Tountoul, Mratchkovski, Medvedev. À la fin de novembre 1917 est introduit dans la composition du Soviet Voïkov…”

De les coïncidences accidentelles dans cette affaire ne peut pas être.

“… En janvier (1918 — auteur) on organisait Soviet Régional: les gestions — Tountoul et Mratchkovski, Militaire — Oufimtsev (plus tard Golochtchekine), de Justice — Golochtchekine (plus tard Poliakov), de Finances — Syromolotov (plus tard Tchoutskaev), de Production — Malychev et Safarov (plus tard Andreev), d’Approvisionnement — Voïkov et Bykov В, de Transport — Vassilev (plus tard Medvedev), de Production — Andronnikov, Kouzmine et Didkovski, d’Agriculture — Khotimski, d’Instruction publique -? de Santé publique — Khourine et Sokovitch, de Sceau — Vorobiov…”

De Bykov P. de par souvenirs, Beloborodov, Ermakov etc. étaient par organisateurs de la première cellule clandestine dans l’usine Lysvenski. Du bourg d’usine Lysva du district de Ekaterinbourg sort sur la scène Alexandre Gueorguievitch Beloborodov, le nom de qui, sonnera dans tous les communiqués sur le meurtre de la famille tsariste. Par le nom retentissant et par graphie belle se détachait Beloborodov parmi les bolcheviques d’Oural.

Photo 9. Ermakov-Beloborodov.

I.F. Plotnikov dit de Beloborodov: “… Est sorti de l’école paroissiale d’église. L’ouvrier de l’usine Nadejdinski. Le membre PORSD/b (le Parti ouvrier Russe Social-démocrate (des bolcheviques) — auteur) dès 1907. Encore par l’adolescent a fait partie de la révolutionnairement de activité de combat à Nadejdinsk (à présent la ville Serov — auteur), puis à Lysva… Deux fois était l’emprisonnement et la exil. Après la Révolution de Février — le membre de soviet Lysvenski…”

Avec Ermakov commençaient l’activité de combat à Lysva, se sont trouvés ensemble à Ekaterinbourg. Encore à 1917 Beloborodov présidait le Soviet de Lysva, mais à 1918 décide déjà du destin de l’empereur. Il a commencé à jouer le rôle “décisif” en Soviet régional d’Oural auprès de quel soutien? Probablement, auprès de soutien de Sverdlov.

Après que les communistes ont quitté Ekaterinbourg en été 1918, le conseiller de la cour Kirsta a commencé l’enquête. Il trouvait par de principaux coupables du crime:

“… d’Yourovski, de Didkovski, de Golochtchekine, de Safarov, de Beloborodov, de Tchoutskaev, de Voïkov, de Tountoul et d’autres membres du Soviet régional de l’Oural…”

Dans cette liste est absent seulement le commissaire Sergueï Vitalevitch Mratchkovski l’organisateur de la garde extérieure de “La Maison de spécial de nomination”.

I.F. Plotnikov dit de Mratchkovski: “… En 1905 est entré en PORSD a présidé l’équipe de combat des bolcheviques, commettant les attentats terroristes. Était mis aux arrêts. Vers le temps de la Révolution de Février — à Ekaterinbourg, après la révolution, est élu à la composition du soviet de ville…”

Photo 10. Golochtchekine-Mratchkovski.

Le participant de l’instruction définitive le subinspecteur M. Talachmanov: “… près du mois du 15 juillet dans un des dimanches (par dimanche était le 14 juillet 1918 — auteur) la compagnie se promenait dans la forêt au nombre des gens suivants: 1) le commissaire militaire Golochtchekine, 2) sa adjoint Anoutchine, 3) le commissaire de logement Jilinski, 4) Oufimtsev, 5) Bronitski, 6) Safarov. 7) Jeltov et 8) le nom établir, se trouva non par le possible. Tous étaient avec les jeunes filles. Étant dans l’humeur gaie, discutaient vivement la question, comment faire avec le Souverain ancien l’Empereur et sa famille…”

Le 14 juillet 1918 de retour de Moscou, Golochtchekine dans la forêt a joué le spectacle suivant “en décidant” en présence des jeunes filles le destin de l’empereur ancien.

La fraude

Pendant discours dans le Radiocomité en 1964 Nikouline s’est embrouillé définitivement et s’est trompé pendant le direct (Nikouline Grigori Petrovitch le participant de la fusillade de la famille tsariste, en une semaine jusqu’à cela, le 10 juillet 1918 a tué le prince V.A. Dolgorouki): “… puisque Beloborodov, c’est-à-dire Golochtchekine…” Nous voyons le nom Beloborodov — on lit Golochtchekine.

La substitution d’unes de personnes par les autres est l’affaire ordinaire dans les déclarations des assassins. Le juge d’instruction pour les affaires considérables de la cour de la grande instance d’Omsk Nikolaï Alexeevitch Sokolov déjà à 1920 a réussi à comprendre, quels rôles exécutaient Beloborodov et Ermakov. Chez certains des investigateurs modernes leur rôle est exagéré.

Les gens qui voudraient s’affaisser par messieurs à Pétersbourg, mais aucunement à district d’Ekaterinbourg, ici ils étaient dans “la mission”. Avec le pince-nez sur nez s’affublaient aux capotes de soldat et les papakhas et cachaient les mains soignées quand se photographiaient. Beloborodov évidemment est de trop dans cette compagnie.

Photo 11. De gauche à droite: N.G. Tolmatchev, A.G. Beloborodov, G.A. Safarov, F.I. Golochtchekine.

Pour cacher le rôle véritable dans l’affaire du meurtre de la famille tsariste du favori de Lénine Safarov, entre en scène — bolchevique Beloborodov.

J’ai un grand doute au sujet de ce “trio”, qui écrivait aux prisonniers les lettres-fraudes.

Le tchekiste (le collaborateur de commission extraordinaire) Rodzinski Issaï Ilitch: “… Nous nous réunissions d’habitude Beloborodov, Voïkov et moi. Moi de CE (de la Commission Extraordinaire — auteur) Régionale d’Oural…

…il y a deux lettres, qui écrites du moi en français, avec la signature… Russe l’officier. Par l’encre rouge…”

Le tchekiste Koudrine Mikhaïl Alexandrovitch (Medvedev): “… Beloborodov, Voïkov et le tchekiste Rodzinski ont écrit de la part de l’organisation russe des officiers la lettre, dans lui ils disaient de la chute rapide d’Ekaterinbourg et proposaient de se préparer à l’évasion durant la nuit du jour défini…”

Voïkov soit dictait, soit écrivait en français. Rodzinski soit écrivait sous la dictée de Voïkov, soit recopiait ces lettres par graphie belle. Même dans une telle question la clarté est absent. Ici quelque chose cachaient. Que Beloborodov avec la formation du d’église paroissiale pouvait comprendre? Le troisième superflu. Probablement, par troisième il y avait Safarov, un assistant de Beloborodov, et d’orthographe française il connaissait mieux, que l’habitant de Perm Rodzinski.

Rodzinski dans le Radiocomité le 13 mai 1964 donne l’interview, une des phrases semble étrange: “… Dans la archive ont embrouillé… les choses authentiques…”

De nouveau la fraude. Les choses authentiques sont embrouillés dans archive.

À lieu laissé dans la lettre, ont écrit la réponse par graphie large.

Rodzinski: “… Pour l’histoire… il fallait le preuve du ce quoi se préparait le kidnapping… que parler, en effetnon d’aucun kidnapping ne se préparait pas…”

Dans un demi-siècle le tchekiste reconnaît, qu’il n’y avait, pas de complot avec le but de libérer de dessous la garde la famille tsariste, de complot qui est devenu la raison officielle de leurs de meurtre.

“… Est qui était rien celui-là deviendra

Photo 12. Medvedev Pavel.

Le paysan de l’usine Syssertski Pavel Spiridonovitch Medvedev pour ne pas aller sur le front, se case travailler sur l’usine de la défense. Plus loin — plus. Le commissaire Mratchkovski, venant sur l’usine, a commencé à recueillir l’équipe de les plus fidèles à l’affaire de la révolution des gens pour la garde de “La Maison de spécial de nomination”.

Le salaire immense de par ses temps-là au 400 roubles est devenu par le facteur décisif d’inscription dans détachement. Plus loin encore plus. Medvedev était bien obligeant avec Yourovski (selon le témoignage Anatoli Yakimov de l’ouvrier de la fabrique de Zlokazov) et a mérité le siège de supérieur de la garde extérieure en “la Maison de spécial de nomination” avec le salaire déjà au 600 roubles. Vertigineux la croissance de carrière…

(Le recours plein de fautes de Medvedev à Soviet).

Oui-i-i-i…

Pendant le meurtre de la famille tsariste P. Medvedev se trouvait derrière tous les bourreaux. Tirait, mais a tué ou non — les informations est absentes. La cruauté vue a provoqué la nausée chez l’assassin pas mûr, et il est allé sur l’air.

Le tchekiste Koudrine (Medvedev): “… Dans la chambre de passage je vois Pavel Medvedev — il est mortellement pâle, chez lui le vomissement…”

Probablement, à père de trois d’enfants il était difficile de lever la main sur tsaristes d’enfants…

Le paysan de l’usine Syssertski, servant dans la garde extérieure de MSN (la Maison de Spécial de Nomination), Proskouriakov: “… Nous recevions 400 roubles du salaire, mais Medvedev recevait 600 roubles…”

Dans l’Affaire criminelle il y a un récépissé authentique de Medvedev dans la réception de la somme de 10800 roubles de Yourovski pour le paiement du salaire aux gardiens Syssertski. Sans soupçonner sur son existence, (le récépissé n’a pas brûlé par hasard dans le fourneau de la maison de l’ingénieur d’Ipatev) Medvedev affirmait sur les interrogatoires que il a reçu de Yourovski du la somme au 8000 roubles.

De documents de l’affaire criminelle: “… Medvedev s’indignait au sujet de ce pillage, en exprimant le mécontentement par les actions d’Yourovski et des Lettons: toutes ont pris à soi et ne lui ont rien donné. Medvedev exprimait absolument l’indignation et ne pouvait pas le cacher…”

À soi le coquin avide prend 60 roubles de l’argent tsariste et s’indigne au sujet de ce qu’avec lui n’ont pas divisé de eux les choses.

Cela tout caractérise éloquemment de les gens possédant le pouvoir et la force, à qui Yourovski a confié la garde de la Maison.

Des déclarations testimoniales de Driaguina Vassa Ossipovna:

“… Medvedev était bien ivre … — était chez les natals, … et voulait aller dans la Maison d’Ipatev, mais lui ont dits que là de personne non. — Comme, non? — a demandé Medvedev. — Oui, tous sont partis, — ont répondu lui. Après cela Medvedev a demandé sur le compte de Yourovski et a reçu, a reçu la réponse que et Yourovski est parti…”

Selon le témoignage de gardien Proskouriakov — ceux qui prenait part au meurtre, sont partis avec Yourovski. Pourquoi ont oublié Medvedev? Je pense, parce qu’il était dans la liste de Meïer-Yourovski. Sur le compte de cette liste un peu plus tard.

D’abord Medvedev s’établit chez le commissaire Mratchkovki, puis à Perm Golochtchekine définit de Medvedev au l’équipe pour l’explosion du pont sur la rivière Kama. S'étant persuadé qu’il ne comprend rien dans cette affaire et l’ohmmètre voit une première fois à la vie, lui montrent le 3-ème pilier du pont avec mines désarmées et par feeder conduisant à la maisonnette du gardien du pont.

Puis, à la veille de l’explosion “… étaient apporté 4 détonateurs et la fusée-détonateur. Tout cela était adressé non à Medvedev, mais à quelque Bobylev… Ils agissent toujours ainsi pour” la confidentialité”…

…Le commissaire des voies et le commandant du pont ont transmis l’ordre sur l’explosion du pont et “… ont commencé immédiatement à se sauver, … et en même temps les troupes gouvernementales se sont approchées du pont du côté de la rive droite, et déjà ont commencé à tirer par les fusils de pont sur ceux qui se sauvait

…Il, Medvedev, était assis en même temps dans la maisonnette du garde et n’entreprenait rien, il a décidé de ne pas faire sauter le pont et continuer le service dans les troupes gouvernementales…”

La mort héroïque pour l’affaire de la révolution, et encore sous le nom du d’autrui, n’était pas la partie de plan de Medvedev.

Chez moi il n’y a pas doute dans celui-là, que de Medvedev voulaient se libérer; non par hasard, lui était expédié par Golochtchekine faire sauter le pont.

Deuxième “le héros de la révolution” était aussi pas trop scrupuleux.

“… Les choses trouvés dans l’appartement de courrier-gardien de Soviet régional d’Oural de Petr Illarionovitch Lylov le 30 juillet de 1918…” — 22 dénominations (№№349—370).

…Les choses trouvés chez la femme civile du gardien-courrier Lylov Fedossia Illarionovna Balmacheva…” — 90 dénominations (№№371—461).

Lylov a expliqué sur l’interrogatoire dans la Police judiciaire de Ekaterinbourg le 4 septembre 1918, quoi leur principale masse auprès de fuite des bolcheviques d’Ekaterinbourg étaient volés par Beloborodov. Il, Lylov, a volés de leurs, à son tour, à Beloborodov. En particulier, le crayon de l’Impératrice (№349) il a volés du bureau de Beloborodov…”

Le prince Gueorgui Evguenevitch Lvov: “… Combien en général Beloborodov était par influent chez les bolcheviques, je ne peux pas dire. Mais je connais que les bolcheviques le mettaient en prison le pour le vol 30.000 roubles; ont pardonné, et il après cela, était de nouveau par le président du soviet de région…”

Ayant volé de la caisse de parti une telle grande somme, Beloborodov devait être traduit en justice. Mais les gens avec la réputation tarée deviennent souvent les exécuteurs accommodants et confortables de la volonté d’autrui. Au Golochtchekine qui a aidé lui à sortir de cette position indécente, Beloborodov a commencé à se soumettre sans objections.

Mais les habitudes de voleur n’ont pas disparu. En emportant les choses de valeur de la maison d’Ipatev, ils avec Golochtchekine ont mis beaucoup aux poches. Aux membres du parti spécialement distingués donnaient les primes par les choses des fusillées des personnes tsaristes.

Le participant des événements à Ekaterinbourg, Ivan Petrovitch Meïer dit de Beloborodov: “… S’est habitué à se soumettre; il dans toutes les décisions comptait sur Moscou…”

Le vrai rôle de Beloborodov dans l’activité du pouvoir d’Ekaterinbourg, se découvre dans preuve testimoniale de Sergeï Nikolaevitch Smirnov:

“… Avant la révolution je dirigeais la ville-palais Pavlovsk et les affaires de Son Altesse, le Prince Ivan Konstantinovitch et Sa Altesse Royale, de la Princesse Elena Petrovna Serbski l’épouse du Prince Ivan Konstantinovitch…

…j’avec le commandant suis parti pour le soviet régional. Nous étions rencontrés par le secrétaire de Beloborodov par Moutnykh et sommes allés vers Beloborodov. Beloborodov avec nous était attentif, en manifestant la politesse et en appelant Sa Altesse par “la Princesse”…

…Ici il y avait un inconnu, il a écrit quelque chose sur papier, a fourré d’elle à Beloborodov. Celui-là est devenu considérablement plus sec avec nous, plus officiellement. Je ne connais pas qui il y avait cet inconnu. Mais j’affirme positivement que c’était le Juif jeunet. C'était absolument clair et de par l’apparence et de par réprimande juive…

…Je suis allé de nouveau à Moutnykh… Moutnykh non celui-là est devenu qu’autrefois. Il ne regardait pas dans yeux, se détournait, il disait quelque chose, téléphonait en la commission extraordinaire. Conseillait de s’adresser là au “camarade Gorev” plaidant notre cause…”

Si non Gorine, alors qui est-ce? Les noms russes ont les désinences "-ov”, "-ev”, "-ine”. À la racine totale du mot, le désinence est changée exprès ou par méprise. Le Juif jeunet — ce l’étudiant de Perm. À l’hôtel américain habitait et travaillait le tchekiste Gorine, mais pas le tchekiste Gorev.

Yourovski: “… L'étudiant ancien Issaï Rodzinski alors dirigeait le service de la Contre-révolution de CE, et la lutte avec la spéculation et le sabotage aussi l’étudiant ancien Gorine…”

Sergeï Nikolaevitch Smirnov: “… Vous pourrez estimer le rôle de Beloborodov de par le caractère des faits, qui sont amenés par moi. De lui les dispositions le zéro. Il était traité de haut CE et les militaires les commissaires. Il donne les dispositions. Les retirent et n’exécutent pas. Il a permis à la Princesse de partir à Alapaevsk. La traînent au CE…”

Donc, et Beloborodov — la première personne dans le Soviet de ouvriers, des députés paysans et de les députés soldats d’Ekaterinbourg, et de lui le secrétaire Moutnykh seulement les marionnettes dans les mains des tchekistes et commissaires. Tous les documents, que signait Beloborodov, il faut examiner comme la falsification des bolcheviques.

Revenu avec Lénine après l’émigration Voïkov Petr Lazarevitch reçoit le document, qui signe Beloborodov. Uns gouvernaient l’Oural, mais les autres signaient les documents…

Le troisième personnage est important pour nous par la compétence accidentelle dans l’affaire de la fusillade de la famille tsariste. C’est Valentin Sakharov.

Le commandant du bâtiment de l’hôtel américain, dans qui s’est installée “CE” est une “haute” fonction administrative de Valentin Sakharov.

Le mécanicien du chemin de fer de Perm Pavel Ivanovitch Loguinov: “… Se rencontrait je aussi à Perm avec le camarade ancien du président de la commission d’enquête extraordinaire d’Ekaterinbourg par Valentin Sakharov. Avec le père de Sakharov V. servant dans les entreprises d’industrie forestière j’étais ami proche. V. Sakharov a fini du cours de quatre classes de l’école réelle et après la mort du père, est sorti de l’école. De par ma recommandation V. Sakharov était défini sur le service par le clerc au bureau du dépôt de locomotives, mais et ici Sakharov a commencé à tricher et a fait les fraudes pour quoi était destitué et conduite sur la place de compteur, a triché et ici, (est entré dans la transaction avec les ouvriers — marquait de leur les heures d’ouverture superflues), et était licencié du tout. Grâce aux larmes et aux prières de la mère de Valentin ont accepté par Le manoeuvre près réparation des locomotives…

…Même Sakharov racontait qu’il y avait une décision de fusiller 14 personnes… Sur le doigt chez Sakharov pendant le mien avec lui de la conversation, j’ai remarqué l’anneau avec la turquoise et sur la mon question, d’où chez lui un tel bel anneau, j’ai reçu la réponse que l’anneau du travail anglais, puisque on pris dès main d’Anastassia Nikolaevna…”

Sergeï Nikolaevitch Smirnov vivait dans le numéro d’hôtel Américain: (Est interrogé par le juge d’instruction Nikolaï Alexeevitch Sokolov à Fontainebleau (la France)): “… Sakharov est il y avait un gamin-voyou. Il passait chez nous souvent au numéro et se vantait des costumes neufs et chaque fois par les nouveaux gants. Il y avait tout à fait un gamin vide…”

Sakharov, Beloborodov, Medvedev… La jeunesse Peu instruite d’Oural, qui était achetée par l’argent et les fonctions fausses, représentait la personne de la révolution. Est qui était rien celui-là est devenu le pillard de l’avoir d’autre ou l’assassin…

Les jours de semaine de l’hôtel américain

Photo 13. L’hôtel Américain avec les numéros. 1890.

Nous rappellerons que dans le bâtiment de l’hôtel Américain après la révolution s’est placée la Commission Extraordinaire régionale.

Des travailleuses de l’hôtel américain étaient interrogés par l’instruction définitive de par un plan. Est qui vivait dans quels numéros, quelle apparence, est qui dirigeait? Pour la commodité de la comparaison des déclarations, nous les présenterons en forme de tableaux. Sous eux — la narration de preuves testimoniales.

Alexandra Mikhaïlovna Piankova, 23 ans — la femme de chambre dans l’hôtel Américain.

Tabl. 1.

Je ne connais pas les commissaires de Beloborodov, Tchoutskaev et Safarov. Donc, ils vivaient sur les appartements, mais non dans cet hôtel. Yourovski vivait aussi dans la ville à l’adresse: Ekaterinbourg, r. 1-ère Riveraine, m.6; mais le numéro était le cabinet ouvrier.

Par supérieur du détachement des soldats de l’Armée rouge était un certain Chinder.

Fekla Alexéévna Dedioukhina, 26 ans — la serveuse de l’hôtel Américain:

Tabl. 2.

Praskovia Ivanovna Morozova, 28 ans — la serveuse de l’hôtel Américain:

Tabl. 3.

Après que Praskovia Morozova a fait honte à Fekla Dedioukhina dans la cohabitation avec Chender qui participait aux meurtres massifs, probablement, de par la dénonciation de Dedukhina, elle était soupçonnée de “la contre-révolution” et était licenciée 10 juillet.

Il est clair que les déclarations de Dedioukhina sur l’apparence de Nikouline, ne doivent pas être prises au le considération.

Il est intéressant de comparer les déclarations de A. Piankova et de P. Morozova. A. Piankova plus jeune, chez elle Gorine — beau, Morozova P. est plus aîné, elle remarque qui aux séances des tchekistes est assis en tête de la table, et donc, le vrai supérieur, et Gorine chez elle, sans regarder l’apparence, dirige les meurtres massifs. Cela confirme l’idée que, les bolcheviques créaient la révolution par les mains de la jeunesse verte qui non capable de par l’inexpérience estimer du changements, passant au pays.

Gorine et Radzinski, probablement, étaient liés par amitié, puisque les jeunes filles se confondent dans les numéros de pièces. Souvent, probablement, les voyaient ensemble.

Anna Nazarovna Chveïkina, 43 ans — la femme de chambre dans l’hôtel Américain.

Tabl. 4.

Après Loukoïanov étaient par les supérieurs Gorine, Rodzinski, Kaïgorodov. Le secrétaire Yarovski.

Loukoïanov, Rodzinski et Gorine — les étudiants de Perm, vers eux les parents arrivaient. Kaïgorodov — l’ouvrier de l’usine à Motovilikha (le bourg près de Perm), le supérieurs du détachement de combat Chinder. Aux séances participaient Beloborodov, Golochtchekine, Tchoutskaev, Jilinski et Yourovski.

“… Cette serveuse presque a amené à la fusillade la serveuse Morozova, qui la condamnait dans la proximité vers des bolcheviques et la sympathie vers leur…”

A.M. Piankova: “… Par le supérieur du détachement des soldats d’Armée rouge, était un certain Chinder (Chender — auteur). Il était le concubin de la serveuse Fekla Dedioukhina et, au départ de la ville, de par mots de elle, a volé le porte-monnaie avec 60 roubles de l’argent…”

Clairement, pourquoi Fekla Dedioukhina ne veut pas honnêtement décrire l’apparence de Nikouline Elle la concubine du supérieur de détachement punitif de Chender. Praskovia Morozova était licenciée, mais se trouve, pouvaient et fusiller.

“… Un principal travail et un remue-ménage se passait chez nous pendant la nuit: les perquisitions, les arrestations, les fusillades…”

En déclarations des testimonials se décrivent souvent l’apparence et les vêtements, mais les noms de les personnes, de qui décrivent restent par inconnus. Les déclarations des travailleuses de l’hôtel sont très utiles dans l’identification des participants des événements. Avec leur aide, par exemple, on réussit plus à apprendre l’activité des jeunes étudiants de Perm de Rodzinski et de Gorine.

La garde

Le gardien Mikhaïl Ivanovitch Letemine: “… La Garde de la Maison de spécial de nomination, où il y avait en prison le Souverain ancien l’Empereur Nikolaï II, avait 56 personnes: 30 ouvriers de l’usine Syssertski, 16 ouvriers de l’usine Zlokazovski à Ekaterinbourg et 10 Lettons… Je et les ouvriers de l’usine Syssertski étaient embauchée par le commissaire du Premier détachement de combat d’Oural par Mratchkovski… Nous payaient 400 roubles par mois, les jours de la garde se divisaient en 4 de relève…”

Il faut expliquer ici que la protection de la Maison de spécial de nomination se divisait en la garde intérieure et extérieure. Yourovski a fait tout pour exclure la possibilité de leur intersection. Uns vivaient sur le premier étage de la maison et effectuaient le service de garde à l’intérieur de la maison, y compris 2 postes de mitrailleuse. Les combattants de la garde extérieure de la maison vivaient dans la maison vis-à-vis. Communiquer avec les détenus était interdit, est rapportaient immédiatement de tous contacts au commandant Yourovski ou à son assistant Nikouline. Si Yourovski passait la nuit en dehors de MSN, Nikouline dormait dans la maison d’Ipatev.

Les listes de la garde extérieure sont reconnues par tous. Cent ans examinent la composition notamment de la garde intérieure de lequel on formait “le peloton d’exécution”.

Le 4 juillet 1918, Yourovski a occupé la place de commandant et a remplacé toute la garde intérieure. Il est très difficile de trouver la vérité, si la veulent obstinément cacher. La quantité de arrivants des gardiens est estimée ainsi — dix, près de dix, 10—11 personnes.

Le 8 juillet 1918, sur la télègue étaient transportés leurs choses de l’hôtel “Américain” où les bolcheviques ont disposé la commission extraordinaire ou “la commissionite-extraordinaire” (le nom condescendant-péjoratif de la commission extraordinaire).

P. Medvedev: “… Au rez-de-chaussée de la maison de Ipatev il y avait des Lettons de ‘Communauté Lettone’; d’eux il y avait 10 personnes”.

Anatoli Alexandrovitch Yakimov un des chefs de la garde extérieure: “Du nombre d’arrivants il y avait cinq personnes Russes et cinq personnes ne Russes”. Peut-être, les Lettons parlaient russe assez bien.

Yourovski en 1934: “… Quand je suis venu là-bas… J’ai pris à titre de l’adjoint du collaborateur de CE du camarade Nikouline…, a pris quelques collaborateurs de CE, par exemple, le camarade Ion…”

Dans la deuxième variante: “… Un rang de camarades j’ai pris aussi de régionale CE, d’entre eux quelques Lettons, leurs noms, malheureusement, je ne peux pas me rappeler (d’eux il y avait 5 ou 6 personnes) …”

Ainsi, de CE on prenait 5—6 personnes, parmi qui quelques Lettons, les autres Russes. Parmi de ceux-ci 5—6 personnes on appellent deux personnes — cela Nikouline et le camarade Ion (le nom non russe, nous supposerons qu’il un de “quelques Lettons”).

Kabanov Alexeï Guéorguievitch: “… Le Camarade Yourovski a communiqué que je suis nommé par le supérieur de l’équipe de les mitrailleurs pour la garde de la Maison de spécial de nomination. On me présentait l’équipe de les mitrailleurs, dans qui étaient quatre Lettons trapus, chacun, approximativement 35 ans, qui servaient dans l’armée 12 ans…”

Yourovski à 1934: “… Un jeune camarade, qui était alors chez moi dans la garde intérieure… Son nom Netrebine Victor Nikolaevitch (Nikiforovitch — auteur)…”

Dans la deuxième variante: “… J’ai pris quelques camarades à la garde intérieure, je ne me rappelle pas exactement, comme si directement dans le comité du parti ou dans SSN (la Subdivision de Spéciale de Nomination — auteur) … " Au sa dix-sept années Netrebine était le combattant du détachement du Comité régional d’Oural de PCR (b) (de Parti Communiste Russe / de bolcheviques, c’est-à-dire de majorité — auteur) à Ekaterinbourg, le participant de la lutte avec les troupes d’A.I. Doutov. Kabanov a appelé Netrebine par l’étudiant de l’Institut de montagne, probablement, ainsi l’a présenté Yourovski.

Kabanov: “… L'étudiant de l’Institut de montagne systématisait les bijoux de la dynastie des Romanov…”

Yourovski en 1922: “… j’ai organisé la garde intérieure, a nommé les nouveaux mitrailleurs, je me rappelle un d’eux particulièrement; le camarade Tselms (Letton)”.

Non 5—6 personnes, à savoir six sont prises de CE — deux Russes et quatre Lettons (nous expliquerons plus tard). Nous les appellerons:

NICOULINE GRIGORI PETROVITCH;

KABANOV ALEXEÏ GUÉORGUIÉVITCH;

1) TSELMS YANIS MARTINOVITCH;

2) YANIS KAÏAKS;

3) NIKOLAÏ PETROVITCH CROUMINCH;

4) EDWARD OSOLINCH.

Les noms de quatre derniers sont pris de” Liste de Svikke”. Sur le compte de eux nous écrirons en détail dans le chapitre homonyme. Les Lettons, en vivant dans l’Empire russe, connaissaient la langue russe — cela la partie russophone de la garde intérieure.

Nous nous adresserons de nouveau à Kabanov et ses souvenirs. Pourquoi notamment à lui il y a une confiance? Il ne prend pas le thé de par soirs dans l’appartement de Moscou de Koudrine (Medvedev) dans la compagnie avec Golochtchekine, Yourovski et Nikouline, mais demeure doucement sur lointain-lointain à l’est, dans la ville de Khabarovsk.

Kabanov: “… encore quatre personnes faisaient toute l’équipe.”

Les Hongrois autrichiens, ou les Magyars de l’Autriche-Hongrie faisant la guerre avec la Russie, parlaient allemand. Ils étaient la partie de la garde intérieure de MSN.

Les prisonniers de guerre dans la guerre civile ont adhéré vers bolcheviques et ils sont devenus, avec les Lettons, de principaux alliés des léninistes dans la lutte avec du peuple ne soutenant pas le pouvoir soviétique, en masse de sienne.

Les noms de quatre gardiens non russes et leur commandant étaient particulièrement cachés par Yourovski:

KHORVAT LAOKS;

1) FEKETE EMIL;

2) NAD IMRE;

3) GRINFELD VICTOR;

4) VERGAZI ANDREAS.

Nous parlerons de ces gardiens plus en détail dans le chapitre “la Liste de Meïer- Yourovski”.

2. L’opération spéciale

Yourovski en 1934: “… Le lien et les négociations de par cette question avec le centre ne cessaient pas. Approximativement le 10-ème juillet il y avait déjà une décision, au cas où laisser la ville Ekaterinbourg serait inévitable. En effet, seulement cela explique que le supplice sans procès judiciaire s’attarde jusqu’au 16-ème juillet, mais Ekaterinbourg était laissé définitivement les 25—26 juillet, et en plus l’évacuation d’Ekaterinbourg passait, pour ainsi dire, en ordre et aux délais…”

La déclaration assez courageuse de Yourovski. Et cela malgré ce qu’encore au 1928 Staline ordonnait de se taire et oublier cette histoire.

Yourovski: “… cela a donné la possibilité, attarder l’affaire avec liquidation jusqu’à fin… parce que tout cela était calculé alors pour des heures…”

Yourovski raconte sincèrement des chefs de l’opération spéciale du centre. Ils se trouvent constamment sur le lien, coordonnent le moment nécessaire avec la position au front, en comptant tout est littéral de par heures.

Selon le plan de l’opération tout se faisait par le moindre quantité des gens, ne se rencontrant pas l’un avec l’autre, pour que personne ne puisse présenter par la entièrement le peinture de l’événement… Présidait l’opération spéciale Golochtchekine le représentant de CECT sur l’Oural.

Par le responsable pour la fusillade Golochtchekine a choisi de président de régionale CE de camarade Yourovski (Ekaterinbourg en 1918 était le chef-lieu de arrondissement dans la province de Perm). L’inhumation était confiée à Ermakov au commandant de du détachement recueilli d’entre les ouvriers de l’usine Verkh-Issetski.

La fusillade

Yourovski a laissé de nombreux rapports sur le” travail” exécuté. Le premier est daté 1920 comme “la Note”, le deuxième — en forme des Souvenirs — 1922 et dernier 1934 — la conversation avec les vieux par les bolcheviques de Sverdlovsk pendant la rencontre confidentielle. Chaque texte avait quelques variantes, le corrigeaient et complétaient.

En outre, le participant direct Kabanov a laissé les souvenirs authentiques. Il tranquillement a atteint un âge avancé, et décrit le supplice comme un des événements dans le curriculum vitae. Pavel Medvedev, en se trouvant dans la prison, tente de diminuer le rôle sien dans de meurtre, en souhaitant sauver la vie. C’est pourquoi de lui les preuves testimoniales ici ne sont pas amenés.

Yourovski: “… Étant descendu à la pièce (la ici auprès d’entrée à la pièce à droite il y a une très large fenêtre, presque dans tout le mur), j’ai proposé de leur de me lever le long du mur…”

Kabanov: “… Sans mot dire, Nikolaï Romanov a pris le fils sur les mains et a passé de par l’escalier en bas. Après lui sont allés tous les autres membres de sa famille et sont entrés dans le local préparé par lui en bas. Nikolaï a placé sur la chaise viennoise du fils et s’est levé au milieu de la pièce, mais tout autres se sont levés à droite et à gauche par le front, la personne vers la porte d’entrée…”

“… s’est assise Alexandra Fedorovna…”

Yourovski: “… Ici ont placé côte à côte sur le fauteuil d’Alexeï, après il y avait un docteur Botkine, le cuisinier et les autres, mais Nikolaï resta à se tenir de debout contre Alexeï. Simultanément j’ai ordonné que descendent les gens et a dit, que tous étaient prêts, et quoi chacun, comme on donne l’équipe était à la place.

Nikolaï a fait asseoir Alexeï et s’est levé ainsi, pour que le fermer par le corps. Était assis Alexeï à l’angle de la pièce à gauche de l’entrée, et (le mot “d’ici” ont tenté d’éloigner — auteur) je tout de suite, comme je me rappelle, ai dit (les mots “par celui de qui fusillaient” ont tenté d’éloigner — l’auteur) à Nikolaï environ que ses, tsaristes et les proches comme dans le pays, tant à l’étranger, tentaient de ses libérer, et que le Soviet des députés ouvriers les a décidé de fusiller…”

A.A. Yakimov: “… Clechtchev… affirmait que Yourovski a dit au Tsar: “Nikolaï Alexandrovitch, Vos les proches tâchaient de Vous sauver, mais cela ne s’est pas passé. Et nous sommes contraints de Vous fusiller “…”

Yourovski: “… Il a posé la question:" QUOI? “et s’est déployé par visage vers Alexeï, mais je par cet temps a tiré dans lui et a tué raide. Il n’avait pas de temps se retourner par visage à nous pour recevoir la réponse. Ici au lieu de l’ordre a commencé le tir désordre…”

Kabanov: "...Malgré le ce que la voiture travaillant produisait un fort bruit, étaient bien audibles les coups de feu et un fort aboiement de quatre chiens de Nikolaï Romanov, des se trouvant auprès de lui.

Je suis descendu dès grenier vers le lieu du supplice et a dit que dans la ville sont bien audibles les coups de feu, l’hurlement des chiens, et, que dans l’institut de montagne et dans la maison à côté de lui se sont allumés les feux, quoi il est nécessaire de cesser le tir, les chiens massacrer. Après cela le tir était cessé, trois chiens étaient pendu, mais le quatrième chien Djek se taisait, c’est pourquoi ne l’ont pas touché…”

Yourovski: “… de plus, le feu s’est renforcé, quand on avait poussé le cri de ceux de qui fusillaient…”

A.A. Yakimov: “… Après les premiers coups de feu s’est fait entendre… ‘glapissement’ féminin, le cri de quelques voix féminines. Ceux, de qui fusillaient, ont commencé à tomber l’un après l’autre. Par le premier est tombé… le Tsar, après — l’Héritier. Demidova, probablement, se jetait à la côtés. Elle… se fermait par le coussin…”

Yourovski: “… Puis a commencé le tir, se prolongeant deux-trois minutes. Nikolaï était tué raide, par le commandant lui-même, puis sont morts tout de suite Alexandra Fedorovna et les gens des Romanov / de tout on fusillait 12 personnes: Nikolaï, Alexandra Fedorovna, quatre les filles, Tatiana, Olga, Maria et Anastassïa, le docteur Botkine, serviteur Troupp, le cuisinier Tikhomirov (Kharitonov — auteur), encore le cuisinier et la dame d’honneur, le nom de qui le commandant a oublié /. Alexeï, trois de ses soeurs; la dame d’honneur et Botkine étaient encore vivant. Il fallut les fusiller

…À l’équipe ont indiqué d’avance est qui sur qui tirera, et est ordonnaient de viser droit la coeur, pour éviter une grande quantité de sang et est plus rapide de finir…”

Kabanov: “… Ceux qui resta à vivants de passibles du supplice, étaient tués par l’arme blanche…”

Yourovski: “… Entre autres, après qu’ont arrêté le feu, Ermakov est venu. Il par la baïonnette tentait de leurs donner la mort, mais et cela aussi ne sortait pas. Alexeï était assis le vivant, et je déjà le fusillais après…”

Koudrine (Medvedev): “… ne pouvaient rien faire, alors Ermakov utilisait la baïonnette et cela n’a pas aidé, alors les ont tué, en tirant sur la tête…”

Kabanov: “… cadettes deux filles du tsar, qui s’étant serré près du mur, s’accroupissaient, ayant fermé les têtes par les mains, mais ce temps deux personnes tiraient sur leurs têtes…”

Yourovski: “… Alors les ont tué, en tirant sur la tête… La fusillade de les filles et d’Aleksandra Fedorovna était embarrassée…”

Kabanov: “… Un des camarades a commencé à enfoncer dans la poitrine de la dame d’honneur la baïonnette du fusil américain ‘le winchester’. La baïonnette comme le poignard, mais émoussé et la poitrine n’a pas endommagé. La dame d’honneur a empoigné par deux mains la baïonnette et a commencé à crier… Puis elle était tuée par crosses des fusils…”

Par “les winchesters” à la première guerre mondiale s’armaient les Lettons.

Yourovski: “… Quand tu confieras aux gens, peuvent tuer non de tous… Clairement qu’avant le chargement j’ai contrôlé de chacun séparément est mort ou non… Et seulement alors nous les donnions et transféraient…”

Mikhaïl Vladimirovitch Tomachevski a transmis le récit des Agafonov, les gens natals d’un des chefs de la garde extérieure d’A.A. Yakimov: “… ont commencé la inspection, sont restés les vivants ou non… Une Grande Princesse Anastassïa Nikolaévna s’est trouvée dans la syncope et semble, elle n’était pas blessée ou les blessures étaient les poumons, quand d’elle ont frôlé elle a repris connaissance et a commencé ‘terriblement à glapir’/les mots des Agafonov/- elle était tuée par crosses…”

“… Puis ont commencé à transférer les cadavres et placer à l’automobile, qui était couvert du drap pour que ne puisse pas s’infiltrer le sang…”

Kabanov: “… transféraient par les civières sanitaires les cadavres des tués et plaçaient sur le camion, qui était couvert d’une nouvelle bâche blanche…”

…En 1965 dans le Radiocomité interrogeaient sur durée de “l’opération”.

Nikouline: “… Ils se couchaient à onze heures, peut être au début de la douzième heure…

…ils se réunissaient très longtemps… Elle se prolongeait (l’opération — auteur) deux d’heure. Oui, lheure et demi, probablement, ils se réunissaient. Ensuite, quand ils sont descendus, là pendant la demi-heure tout était terminé…”

L’heure et demi ils se réunissaient et une demi-heure se prolongeait le meurtre. Toute l’opération se prolongeait deux heures.

Yourovski: “… Le camion est arrivé seulement à une heure et demie, le temps de l’attente superflue pouvait déjà contribuer à quelque inquiétude, attente en général, mais le plus principal — les nuits courtes…”

P. Bykov: “… La famille était fusillée dans ce vêtement-là, qui était sur les prisonniers, l’assurés quoi de eux d’Ekaterinbourg emmèneront…”

M.V. Tomachevski a transmis le récit des Agafonovy, les gens natals d’un des chefs de la garde extérieure d’A.A. Yakimov: “… L’Empereur ancien, sa femme, le fils, les filles et la dame d’honneur ont quitté les chambres à coucher sous prétexte de l’évacuation immédiate d’Ekaterinbourg…”

Ermacov: “… J’ai dit que transporterai de Vous au centre, on ne peut pas retenir Vous ici davantage…”

P.Bykov: “… Par lui ont proposé de descendre en bas pour de là déménager à une autre place…”

Koudrine (Medvedev): “… Yourovski lit la décision sur la fusillade… ‘Ainsi donc de nous ne transporteront nulle part?’ — Botkine a redemandé…”

Yourovski: “… L'éloignement des cadavres et etc était par le devoir du camarade Ermakov. Il devait venir avec l’automobile, l’ont admis selon le mot de passe conventionnel — “le ramoneur”.

La raison véritable du retard de la fusillade et de la nervosité liée avec l’approche de l’aube, non dans ce qu’a été en retard le camion d’Ermakov, mais dans ce que Yourovski, éveillant personnellement Botkine, a annoncé au dernier sur le compte de voyage prochain.

Par cela expliquent et les collectes de longue durée et la quantité immense des bijoux pris “sur soi” et les manteau sur tous les détenus. Le pardessus sur le docteur, le pardessus sur le tsarévitch, la casquette sur Nikolaï Alexandrovitch pour la sortie sur la rue et les costumes bleutés pour de voyage, sur de princesses.

Ainsi, et dans cet épisode Yourovski ment. Ermakov est venu au minuit, pour ce moment-là les prisonniers avaient un temps pour s’endormir, puisque se couchaient au début de douzième. Deux heures il fallait sur le toute l’opération. Au début d’une troisième heure du matin ont chargé les cadavres au le camion. Il fallut perdre certain temps sur le prévention de maraude. Le camion est parti à deux heures et demie du matin. Encore un certain temps, Yourovski donnait les instructions de par nettoyage de la pièce de la fusillade, et à trois heures est parti avec les Lettons à la poursuite du camion.

Les bourreaux

Yourovski: “… Étant descendu à la pièce (à droite de l’entrée à la pièce il se trouve la fenêtre très large, presque à tout le mur…”

Photocollage 1.

Si la fenêtre, en effet, était presque à tout le mur, selon la photo, la pièce était petite (100 x 120 verchok). Il est difficile de présenter, comme se plaçaient là-bas tant de gens. Fusillaient à bout portant.

Nikouline: “… Sur l’affaire de nous il y avait, d’exécuteurs 8 personnes: Yourovski, Nikouline, Medvedev (Koudrine — auteur) Mikhaïl, Medvedev Pavel… Ermakov, Kabanov Ivan (correctement Alexeï — auteur), et, encore, de deux, je ne me rappelle pas les noms…”

M. Koudrine (Medvedev): “… Donc, quatreTrois de les Lettons ont refusé de participer à la fusillade… Dans le détachement il restait sept personnes des Lettons…”

Le mot “le Letton” était ce temps-là le synonyme du combattant — punisseur. De ancien de gardien d’empereur de Kabanov appelaient par “Letton russe”.

M. Koudrine (Medvedev): “… À suite de la procession suivaient de par l’escalier — Pavel Medvedev, Gricha Nikouline (de prénom Grigori — auteur), sept Lettons (deux d’eux ont sur épaules les fusils sur qui adhéraient les baïonnettes)…”

P. Medvedev: “… Onze personnes simultanément sont entrées dans la même pièce: Yourovski, son adjoint, deux membres de la commission extraordinaire, et sept personnes des Lettons…”

P. Medvedev le seul participant de la fusillade arrêté par instruction définitive de garde-blancs.

Koudrine (Medvedev): “… — le représentant de l’Armée Rouge est encore nécessaire, — Philipp Golochtchekine a prononcé…”

Petr Zakharovitch Ermakov ne pouvait pas être un tel représentant. Il s’agit de Svikke Yan Martinovitch — cela deviendra le résultat de notre enquête.

Ermakov: “… Est arrivé avec deux camarades: par Medvedev et un autre Letton — maintenant je ne connais pas de nom, Yan mais qui servait chez moi dans mon détachement, dans le Service punitif…”

Deux membres de la commission extraordinaire qui sont venus avec Ermakov au dernier moment — Koudrine (Medvedev) et Yan Svikke.

Donc, voici eux, les bourreaux:

1) YOUROVSKI YANKEL KHAIMOVITCH;

2) NICOULINE GRIGORI PETROVITCH;

3) KOUDRINE (MEDVEDEV) MIKHAÏL ALEXANDROVITCH;

4) SVIKKE YAN MARTINOVITCH;

5) KABANOV ALEXEÏ GUÉORGUIÉVITCH;

6) TSKELMS YAN MARTINOVITCH;

7) KHORVAT LAOCS;

8) FEKETE EMIL;

9) NAD IMRE;

10) GRINFELD VICTOR;

11) VERGAZI ANDREAS;

12) MEDVEDEV PAVEL SPIRIDONOVITCH.

Maria Danilovna Medvedeva, l’épouse de Pavel Medvedev: “… Produisaient la fusillade 12 personnes de, tiraient non de les fusils mais les revolvers…”

Le tchekiste Kabanov: “… Je me rappelle bien: quand tout, participant au supplice, se sont approchés vers la porte d’entrée découverte, nous nous sommes levés au trois rangs, tiraient par les revolvers; en outre, des deuxièmes et troisièmes rangs tiraient par-dessus les épaules de ceux qui se trouvait devant eux. La multitude des mains, tendues avec les revolvers en direction de ceux de qui fusillaient, étaient trop tout près, et celui qui se trouvait devant vous, recevait la brûlure de dos de la main de la main à cause de coups de feu du voisin se trouvant derrière…”

Yourovski: “… Balle perdue de quelqu’un des tireurs par derrière bourdonne chez ma tête, mais à un a endommagé ou la paume, ou le doigt

…Bien que, la pièce soit très petite, tous pourraient entrer cependant dans la pièce pour fusiller en ordre. Mais plusieurs, tiraient évidemment par-dessus le seuil; car le mur en pierre, les balles ont commencé à voler par ricochet

…n’ont pas pensé en temps voulu à ce que… le mur en pierre en, où se trouveront ceux, de qui fusillent; que le tir acceptera le caractère désordre. Cela ne devait pas être parce que chacun fusillera seulement de un personne

…Mon adjoint (Nikouline — auteur) dépensait toutes les balles (la raison de la viabilité étrange de l’héritier, probablement, s’est passée à cause d’une faible possession par armes ou par inévitable de nervosité, provoquée par de longues difficultés avec les filles)…”

“… Alexeï, par exemple, quelque chose onze balles. Seulement alors. Oui, onze balles a avalé,” — Nikouline l’assassin du garçon dans le Radiocomité (de l’aoudio d’inscription — auteur) racontait. — Alexeï quelque chose ainsi vraiment un tel gars très vivace. ENTRE AUTRES, UN TRÈS BEAU GARS…”

Yourovski: “… D’autres cartouches du Colt et Mauser sont dépensées pour l’achèvement de la fusillade des filles de Nikolaï et l’étrange viabilité de l’héritier…”

Kabanov: “… Dans l’antichambre il y avait des chefs de région (d’oblast — auteur). Il y avait ici Mikhaïl Medvedev (Koudrine — auteur) … Ensuite les camarades assistant dans l’antichambre, y compris et moi, ont commencé à tirer dans autres membres de la famille de Nikolaï par-dessus la porte à deux battants découverte. Ayant déchargé son revolver en les condamnés…”

À titre des assassins, Kabanov indique de soi, Koudrine (Medvedev) et de les chefs de région… Dans ce temps-là sur la rue près de la maison se trouvait Golochtchekine. Quand les cadavres étaient tirés de la maison, il —

“… s’est incliné à tsar…", — Koudrine (Medvedev). ‘… Aux chiens — de chien la mort!’ — avec mépris a dit Golochtchekine…”

Les informations sur la participation à la fusillade des chefs de région assistent et dans d’autres déclarations.

Kapitolina Alexandrovna Agafonova la soeur d’un des chefs de la garde extérieure d’A.A. Yakimov: “… Est qui notamment participait à la fusillade et combien de les personnes — le frère ne disait pas; je me rappelle que il mentionnait de quelconques Lettons disait que tiraient non les soldats de l’Armée rouge mais quelconques ‘les cardinalesvenant du soviet, de ceux-ci ‘des cardinales’ étaient cinq personnes…”

Qui entrait à la quantité de ces cinq personnes venant du conseil et des plus actifs auprès de la fusillade? Koudrine (Medvedev), Svikke, Golochtchekine, Safarov et Voïkov? Ou bien, trois personnes de derniers “témoignaient” seulement, mais cinq personnes tirant c’est Yourovski, Koudrine (Medvedev), Svikke, Nikouline et Kabanov?

Koudrine (Medvedev): “… Yakov Mikhaïlovitch (Yourovski — auteur) me propose avec Ermakov, comme aux représentants de CE et l’Armée Rouge, témoigner la mort de chaque membre de la famille tsariste…”

De l’Allemand autrichien Iogann (Ivan Petrovitch) Meïer les souvenirs: “… Voïkov était occupé par l’inspection des fusillés, il y avait encore les survivants ou non? Il retournait tous à la renverse. Chez l’impératrice il a pris les bracelets d’or de…

…Voïkov devait être là de par dette. Il venu là-bas à 2 heures du matin, a écouté l’exposé de Yourovski, entrait ensuite et dans la pièce de la fusillade après le meurtre…”

Ermakov: “… Parmi les exécuteurs immédiats de d’indiqué de sentence-fusillade de la famille tsariste des Romanov (…) nous à trois: le supérieur de la garde Yourovski, l’assistant du commandant du détachement de la garde-rouge letton Yan et moi, Ermakov…”

La substitution des participants de la fusillade par d’autres personnes, probablement, était coordonnée avec eux. Ermakov a commencé à jouer son rôle.

I.F. Plotnikov: “…Ces derniers temps je sais, que… Netrebine raconte en détail le participation à la préparation du supplice, mais est très laconique — sur le compte d’elle, en utilisant plus d’une fois l’expression ‘nous’ (‘nous avons préparé l’arme’ etc). Mais auparavant il a indiqué qu’après le tirage au sort avec un ‘des Lettons’, devait jouer le rôle décisif dans le meurtre, que tout accompagnaient les grandes émotions etc. N’a pas dit seulement que et lui-même tirait, et sur qui tirait…”

De Netrebine des souvenirs, découverts par l’auteur dans archive, la description de la fusillade dans tout, ainsi que dans les détails, se distingue considérablement des récits de autres participants. Par exemple, à l’avis de Netrebine de la victime “se sont réunis à un tas” et cetera. De cela on peut conclure qu’il ne participait pas à la fusillade.

A.A. Yakimov dit de gardiens: “Était particulièrement affligés par cela Deriabine, mais aussi et Broussianine. Deriabine grondait tous pour cause de telle affaire et appelait les assassins par ‘bouchers’. Il disait sur le compte de eux avec la répugnance. Broussianine ne pouvait pas regarder cette peinture, quand ont commencé à transférer de défunts, aux draps de lit blancs, et mettre à l’automobile, il a jeté le poste et s’est mis à courir sur l’arrière-cour…”

Les automobiles

Un des chefs de la garde extérieure A.A. Yakimov: “… Avec les cadavres est parti Yourovski et de la personne trois Lettons…”

Le gardien Proskouriakov: “… Il y avait des mêmes traces du sang et dans la cour en direction de la porte sur les pierres…”

Yourovski: “… J’ai ordonné de laver tout et nettoyer; nous environ au 3 heures, ou même un peu plus tard, sommes partis. J’ai pris avec soi quelques personnes de la garde intérieure…

…Le camarade Philipp [Golochtchekine] évidemment en me protégeant (car je ne me distinguais pas par la santé) m’ai prévenu pour que je ne marchais pas sur “les obsèques”, mais je m’inquiétais comme on cache bien les cadavres c’est pourquoi jai moi-même décidé aller…”

Pour cela probablement il avait une raison très sérieuse, mais parlons d’elle un peu plus tard…

Le tchekiste Koudrine (Medvedev): “… Ermakov s’assoit à chauffeur, de quelques personnes de la garde avec les fusils s’assoient au carrosserie…”

Le mitrailleur de la garde intérieure “le Letton” Kabanov: “… L’auto… en accompagnement de quatre camarades, étant assis dans la voiture et deux à cheval, étant assis sur chevaux, s’est écartée de la maison…”

Environ à deux heures et demie du matin le camion est parti de la porte de la maison (“Fiat” au 4 tonnes), sur lui est parti Ermakov et quelques personnes de la garde intérieure avec les fusils, deux personnes à cheval le on accompagnaient — Vaganov et M. Koudrine (Medvedev).

Photo 14. “Le Fiat” de début XX de siècle.

À 3 heures du matin Yourovski et “de la personne trois Lettons” partent de la porte de la maison en l’automobile (de couleur jaune).

A.A. Yakimov: “… L’automobile avec les cadavres Lioukhanov a dirigé à la porte qui sortait sur la ruelle Voznessenski…”

Koudrine (Medvedev): “… La voiture commence le mouvement, part par-dessus les portes en bois de la clôture extérieure, tourne à droite, et de par la ruelle Voznessenski…”

L’habitant d’Ekaterinbourg de V.Y. Bouïvid: “… se sont ouvertes les portes de la clôture de la maison Ipatevski et doucement — en faisant, peu de bruit — est parti sur la rue l’automobile en ayant tourné sur l’avenue Voznessenski…”

L’habitant d’Ekaterinbourg P.F. Tsetsegov: “… À 3 heures a entendu le bruit de l’automobile, à l’intérieur de la cloison de la maison d’Ipatev… Puis a entendu le bruit de automobile du même, se dirigeant vers une Principale avenue…”

Proskouriakov donnait les explications: “… Les automobiles entraient et au ceux-là et au l’autres portes mais sortaient seulement dans les portes qui sortaient sur la ruelle Voznessenski…”

D’Ermakov P.Z. de “Photocopie du manuscrit des souvenirs sur la fusillade de la famille tsariste”: “… Après la fusillade tous étaient mis au camion, et selon la voie d’avance indiquée, les automobiles ont partis de la ville à l’usine Verkh-Issetski, terrain forestier sur 8-ème kilomètre où autrefois était la extraction de minerai…”

Et le camion de Lioukhanov et l’automobile de Yourovski sont partis par-dessus portes qui sortaient sur la ruelle Voznessenski, puis l’automobiles ont tourné sur l’avenue Voznessenski. Le premier environ à deux heures et demie du matin, le deuxième un peu plus tard, à 3 heures du matin.

Fig. 1 a./b.

Le chemin vers la minière

Fig. 2.

Sur la carte d’Ekaterinbourg de 1910 par les lignes rouges marquent “la ruelle Voznessenski”, “l’avenue Voznessenski” et “une Principale avenue”.

Le général Mikhaïl Konstantinovitch Diterikhs le dirigeant de la instruction définitive de Kolchak: “… Le chemin… va de la maison d’Ipatev par-dessus la ville d’abord de par l’avenue Voznessenski, mais puis tourne à droite, de par une Principale rue (une Principale avenue — auteur) et par elle chez l’hippodrome sort en dehors de les limites de la ville…”

L’hippodrome est indiqué en bas de la carte (fig. 3).

Fig. 3.

“… Ensuite, ayant passé par-dessus l’usine Verkh-Issetski, le chemin se dirige vers les cordons sur les lignes de chemin de fer de Kazan et de Perm et, passe les deux lignes et entre dans la forêt épais, mélangé, en broussailles…”

Fig. 4.

Yourovski: “… Ayant passé par-dessus l’usine Verkh-Issetski dans les verstes de cinq, se sont rencontrés par le camp entier — 25 personnes à cheval, dans les calèches etc. C'étaient les ouvriers (les membres du comité exécutif du soviet) de qui a préparé Ermakov…”

Compte tenu de l’échelle de la carte la rencontre s’est passée environ dans la place marquée par le cercle rouge sur fig. 5.

Fig. 5.

Le gardien de la voie sur passage à niveau №184 (fig. 6) Loboukhine Yakov Ivanovitch: “… Je me suis réveillé du bruit de l’automobile. Cette affaire surprenante, parce que jamais de affaire de telle avant n’était pas, pour que l’automobiles devant ma guérite, oui encore pendant la nuit, allaient…”

Fig. 6.

D’interrogatoire de Nastassia Pavlovna Zykova de la paysanne du village de Koptiaki: “… Après Petr du jour dans quelques jours, je me rappelle bien que mercredi, notamment le premier mercredi, après Petr du jour, j’avec le fils Nikolaï et sa la femme Maria suis partie à Ekaterinbourg… Nous sommes partis alors à trois heures, au début de quatrième. Je Vous indique le temps, puisque je dans la maison ai des heures, et je me rappelle en effet qu’alors ce temps sont partis de la maison…”

“… Se sont éloignés du village de la verste sur 4, ont traversé le pont sur une grande fenaison; ne sont pas arrivés jusqu’à terrain “Quatre frères” près de la verste, comme soudain chemin faisant à la rencontre d’eux sont arrivés à califourchon sur les chevaux deux soldats de l’Armée rouge. (Sur la photo 16 à gauche deux chicots vieux restées de quatre pins — auteur.)

Photo 15. Le terrain “Quatre frères”.

Un d’eux était habillé comme le matelot. Le dernier au-dessus de leurs têtes est devenu brandir par le revolver a ordonné sévèrement de ne pas regarder en avant, immédiatement rebrousser chemin le cheval… Le fils Nikolaï disait, que par-devant sur le chemin, il voyait la troupe, le convoi, comme si, deux automobiles…”

De les déclarations supplémentaires de N.P. Zykova: “… Un était dans les vêtements de matelot, et je l’ai examiné bien. C'était le matelot Verkh-Issetski Vaganov. L’autre était habillé en manteau du soldat et dans la casquette du soldat… Je me rappelle qu’à lui a l’air plus de 20 ans; jeune, légèrement basané; les petites moustaches, sans barbe, la personne pauvre. Est qui il, je ne connais pas. Je le on ne voyais jamais…”

Fig. 7.

L’habitante d’Ekaterinbourg Anastassia Prokopevna Sousloparova dès le mai 1918 louait la maison de campagne dans le village de Koptiaki chez Fedor Zvoryguine: “… Étant parti les verstes 3 de village Koptiaki, près d’une Grande fenaison par lui au-devant s’est trouvé… le paysan… qui allait sur le cheval en télègue avec deux femmes — par la femme et la mère — et était, probablement, est effrayé. Il a communiqué, pour ne pas aller par ce chemin, et qu’à lui au-devant se sont trouvés les soldats de l’Armée rouge: vont vers eux au village quelques télègues et transportent quelque charge, et, en outre, un soldat de l’Armée rouge menaçait de tuer de le mère du revolver. Ils sont revenus au village…”

Le jour le premier. Sur la minière

Koudrine (Medvedev): “… Derrière Verkh-Issetsk aux verstes quelques jusqu’à Koptiaki, la voiture s’est arrêtée sur une grande clairière, où noircissaient couvertes par broussailles les fosses…”

“… Puis ont commencé à transférer les cadavres de par la queue vers la mine laissée…”

Les paysans du village de Koptiaki — à l’enquêteur Sretenski: “… Non loin de la mine, dans le ravin étaient visibles deux les laissées civières, de pin, récemment coupés, avec taillées par bouts pour qu’il était plus confortable de tenir par les mains…”

Ermakov: “… les cadavres étaient portés près de 50 mètres et les ont baissé à la mine. Elle n’était pas de la profonde, près de 6 sagènes, car toutes ces mines je en bien connais…”

Ermakov exactement, à la différence de Yourovski, appelle la profondeur de la mine.

Koudrine (Medvedev): “… arracher d’eux les vêtements…”

Dans peuple la nudité était définie simplement — “dans les culottes” et “sans culottes”. Il est intéressant que les ermakovtsky dans le club (l’interrogatoire de Koukhtenkov) on mentionnait notamment la première variante, mais Soukhoroukov insiste sur deuxième. Chez Yourovski eux “tout à fait nus”.

Ce importante information pour fixation de la vérité, mais sur le compte de cela plus tard…

Koudrine (Medvedev): “… Ermakov a expédié les soldats de l’Armée rouge sur le chemin pour que ne manquent personne du village voisin…”

Yourovski (1920): “… On disposait autour les gens à cheval, pour disperser le tous les passants…”

Nastassia Pavlovna Zykova avec le fils Nikolaï et sa femme, étant parti de Koptiaki à 3 heures du matin, sont parvenus à la mine environ à 04.00. (Fig. 12). Dans ce temps-là vers mine ont fournis les corps fusillés, et Vaganov avec “jeune, légèrement basané” circulaient dès passage à niveau №184 jusqu’à premier tournant vers la mine du côté de la Koptiaki. Sur le dessin 8, c’est le tournant №5, puisque le compte va ne de Koptiaki mais de Verkh-Issetsk.

Fig. 8.

Nous reviendrons vers déclarations de Koudrine (Medvedev), comme du témoin désintéressé:

“… Sur corde des fusillés baissaient au le tronc de mine — d’abord des Romanov, puis de domestiques…”

Gardons dans la mémoire cette succession. À Alapaevsk pour une nuit suivante avec 17 sur le 18 juillet 1918 notamment dans le même ordre par les premiers se sont trouvés dans la mine les Romanov, mais puis les serviteurs.

Koudrine (Medvedev): “… Déjà s’est levé le soleil, quand ils ont commencé à jeter au bûcher les vêtements ensanglantés…”

Les cadavres descendaient auprès de crépuscules du matin, mais brûler les vêtements de l’acier auprès de lever du soleil. Près de la moitié de la cinquième heure (voir l’Annexe 6).

04.30. Le 17 juillet 1918 la mine ouverte №7 la Minière Ganinski.

Auprès de n’importe quelle possibilité nous vérifierons le temps et les déclarations des témoins.

“… Soudain d’un des soutien-gorges de dames le ruisseau des diamants a aspergé. Ont foulé aux pieds le bûcher, ont commencé à choisir les bijoux de la cendre et dès la terre…”

Le ruisseau des diamants sur les vêtements ensanglantés des jeunes princesses, ont foulé aux pieds le feu, — c’est non seulement, les visuelles mais aussi les souvenirs physiques; je pense, en cette partie de la narration, nous on peut croire Koudrine (Medvedev):

“… Est arrivé Yourovski avec Golochtchekine sur la voiture. Ont jeté un coup d’oeil sur la mine. D’abord voulaient remplir les cadavres par le sable, mais puis Yourovski a dit que eux se noient dans l’eau au fond de — en tout cas, personne ici les ne cherchera, puisque c’est la région des mines laissées, et de troncs il y a ici beaucoup…”

Ermakov: “… J’ai dit: nous les baisserons à la mine, et ont décidé ainsi… j’ordonnais de tous déshabiller, pour que les vêtements soient brûlés, et c’était fait ainsi. Quand ont commencé à ôter à eux les robes étaient trouvés chez ‘elle-même’ et ses filles les médaillons, dans qui on insère la tête de Raspoutine. Plus loin sous les robes sur le corps on adaptait les soutien-gorges doubles: on met au-dedans la matière-coton, où on mettait les pierres précieuses et étaient cousus eux… Cela était par pièces transmis à Yourovski au membre de soviet régional d’Oural. Je ne m’intéressais pas, que c’était à la place, car était occupé. J’ai brûlé les vêtements ici…”

La succession n’est pas violée, d’abord les cadavres on baissaient au mine, puis ont commencé à brûler les vêtements. L’attention s’adresse à la différence frappante dans les déclarations d’Ermakov et Yourovski. À l’Ermakov se gravaient à la mémoire non les bijoux mais les petites icônes sur les cous des victimes. “Le commandant” a diffamé des ermakovtsky:

“… chez le public se sont allumés évidemment les yeux. Le commandant a décidé immédiatement de congédier tout l’artel; ayant laissé sur la garde quelques personnes à cheval…” Cela en 1920.

Yourovski en 1934: “… J’ai expédié un autre groupe à la ville comme si faute de besoin…”

Nous essaierons définir à quelle heure notamment, Yourovski a décidé de se libérer des témoins superflus.

Ermakov indique l’heure exacte: “… Quand tout était fini, il y avait déjà l’aube, environ 4 heures du matin…”

En effet, le 17 juillet 1918 l’aube a arrivé à 04.35 (voir l’Annexe 6). Ils avaient un temps pour qu’au club de Verkh-Issetsk se trouver à 6 heures du matin.

6 heures du matin le 17 juillet 1918 Verkh-Issetsk.

De l’interrogatoire Koukhtenkov travaillant dans le club de parti de Verkh-Issetsk: “… à 4 heures du matin se sont réunis: le Président du Comité exécutif de V. Issetsk Malychkine Sergeï Pavlovitch, le commissaire militaire Ermakov Petr… de eux il y avait 6 personnes, et ils de quelque chose parlaient confidentiellement…”

Pour nous est important dans cette déclaration le temps du retour en Verkh-Issetsk d’ermakovtshy. Le temps est indiqué, probablement, “tsariste”; le temps bolchevique était environ 6 heures du matin le 17 juillet 1918. Faute de besoin, Yourovski expédie des ermakovtshy à la maison.

Yourovski en 1922: “… Ayant laissé le travail et ayant décidé de congédier de tous, excepté certains, plus à moi des connus et des fiables…, ayant laissé pour soi cinq personnes et trois cavaliers, de d’autres a expédié…”

Ermakov à six heures du matin se trouve déjà dans le club de Haut-Issetsk. Avec lui est parti et Vaganov.

Mais au ce temps sur le chemin de Koptiaki la vie bout.

Le 17 juillet 07.00. (05.00. selon vieux temps) sont allés de nouveau à la ville. Sur le chemin ont rencontré cavalier, ont passé tranquillement, personne ne les arrêtait — habitante de datcha A.P. Sousloparova.

Le 17 juillet 07.30. Les Zykov Vassili et Nastassia de Verkh-Issetsk allaient à Koptiaki. Ont rencontré seulement les paysans de Koptiaki — Zoubritski, Papine et Chveïkine. Ceux-là leur ont dit que leur village est entouré des troupes. Ils avec le mari d’aucuns soldats de l’Armée rouge ne voyaient pas. Mikhaïl Ignatevitch Babinov, le paysan du village de Koptiaki cela confirme (a dit de Zikov Vassili):

“… Il notamment ce jour, quand au ville ne laissaient pas passer Zykova Nastassia avec le fils et la belle-soeur, est venu à nous avec l’épouse par Nastassia…”

Le 17 juillet 08.00. Zoubritski, Papine et Chveïkine sont sorti du village Koptiaki, se sont fatigués d’attendre “la troupe” et se sont dirigés vers la mine. Sur une Grande fenaison trois Autrichiens fauchaient l’herbe. Sont arrivés vers Quatre Frères, n’ont personne rencontré. Sont retournés.

Le 17 juillet 09.00. De la ferme Zoubritski sa femme et les enfants ont débouché sur la route Koptiakovski. À côté du chemin Koptiakovsi dans la forêt sur l’élévation sur les chevaux étaient assis deux soldats de l’Armée rouge, sur la terre étaient quelques soldats de l’Armée rouge.

I

Les Zykov de Koptiaki avec Sousloparova — ils la déploient en arrière vers village — “vers nous la troupe va”.

II

Les paysans Zoubritski, Papine et Chveïkine attendaient dans le village “la troupe”, puis sont partis sur “l’exploration” vers la mine, après eux est parti à cheval le capitaine Andreï Andréévitch Cheremetevski. Sans rencontrer personne sur le chemin, les paysans ont décidé de revenir au village; de forêt vers eux allait le cavalier effrayé (en effet, c’est ne Vaganov), il explique la raison — sur la mine des l’études.

III

Les Zykov Vassili et Nastassia cela homonymes, mais, probablement, les proches de effrayés par Vaganov des Zykov — Nastassia, de son fils Nikolaï et la bru — sont sortis sur la fenaison et pour la collecte de la myrtille de Verkh-Issetsk, ne rencontrant pas personne sur le chemin, excepté “les éclaireurs”.

IV

Habitante de datcha Sousloparova était déployée tôt le matin en arrière à Koptiaki, mais elle entreprend la deuxième tentative de se trouver dans la ville. Cela réussit tout à fait — ont rencontré le soldat de l’Armée rouge, mais il n’empêchait pas leur mouvement.

Yourovski a laissé seulement la garde de la mine, et les paysans, après le départ des ermakovtshy de par les maisons (après 5 heures du matin), allaient tranquillement là-bas et à l’inverse par le chemin Koptiakovski.

Les paysans Zoubritski, Papine et Chveïkine, étant arrivé à “Quatre frères”, sont allés en sens inverse, mais près du tournant vers la mine se sont arrêtés et ne se décidaient pas de passer au la forêt. L’enquêteur Sretenski: “… et soudain par-devant… se sont faites entendre deux explosions des petites bombes, et bientôt de la forêt sur le sentier vers nous est arrivé à cheval le soldat de l’Armée rouge avec le fusil, le sabre et le revolver. Le soldat de l’Armée rouge, de la présence ici de les gens, n’attendait pas probablement, s’est effaré, comme si s’effrayait…

Nous reviendrons vers déclarations de Koudrine (Medvedev): “… Ont décidé de démolir à tout hasard la partie de cage (Yourovski a apporté le tiroir des grenades)…”

En 1934 Yourovski ne cachait pas déjà cette information: “… Ont imaginé faire sauter mine par les bombes pour combler. Mais de cela, certainement, rien n’est pas sorti…”

“… Simplement encombraient par branches mortes, bois mort, trouvées non loin par planches pourries…”

D“étudiant et de par cumul de tchekiste d’Isaï Idelevitch Rodzinski les souvenirs en l’audioenregistrement dans le Radiocomité 1964: “… Les ont baissé là-bas, et par cela trouvaient l’affaire par terminé…”

“… Ayant fini l’opération et ayant laissé la garde le commandant des heures au 10—11 matins (17 déjà de juillet) est allé

…Ayant placé le plus précieux aux sacs, tout que l’autre se trouvant sur les cadavres — ont brûlé, et ont baissé à la mine les cadavres…” Ainsi Yourovski écrit en 1920.

“Le camion d’Ermakov et l’automobile de Yourovski se sont mis en route…", — est un Koudrine (Medvedev).

Yourovski en 1934: “… J’ai pris les valeurs et est parti…”

Il rien ne soupçonne, et avec Nikouline nettoie les bijoux tsaristes du sang.

Nikouline: “… Dans la deuxième moitié du jour Y.M. Yourovski est venu à la maison d’Ipatev et a apporté voici ces objets… Nous-mêmes — je, A.G. Kabanov, Y.M. Yourovski — les avons commencé à laver. Ils étaient salis par le sang…” Et Nikouline et Yourovski mentionnent du havresac de toile — au de cette partie on peut à eux croire.

Yourovski en 1920: “… Est allé avec l’exposé à comité exécutif d’Oural où il a trouvé de Sofarov (le nom véritable Safarov — auteur) et de Beloborodov. Le commandant leur a raconté que il avait trouvé, il a exprimé leur le regret, quoi ils à lui n’ont pas permis en temps et lieu de produire chez les Romanov la perquisition…”

“Le Commandant” avec le sentiment de la dette accomplie reproche à collègue de léniniste Safarov à les négligences.

Le fonctionnaire militaire Petr Alexéévitch Leonov était cette nuit l’employé de garage. Par le conducteur qui a livré un grand camion vers l’hôtel Américain, et par expédié après cela vers soi, était Nikiforov. Sa place du conducteur du camion était occupée par Lioukhanov. Le chauffeur de par nom de Sirik conduisait autre automobile.

Le mécanicien Loguinov dit de camion de Lioukhanov: “… Le chauffeur Lioukhanov a expliqué qu’il a emmené tous les tués en le camion au forêt, ayant ajouté qu’est sorti tant bien que mal: l’obscurité, oui les chicots sur le chemin…”

“… Tout les automobiles partant dans la nuit au 17 juillet, sont revenus, excepté l’automobile de Sirik. L’automobile de Nikiforov était dans un tel aspect: … la planche de la carrosserie avait par ne correcte de la forme la brèche…, ne de correcte de la forme la brèche… sur toute la largeur de la planche, … la brèche de les planches comme deuxième… Les lisières de ces brèches ne égals, comme si, de casse de planches par quelque chose par lourd.

Toute la carrosserie d’automobile était salie par sang. Il y avait une impression que la carrosserie lavaient et balayaient, probablement, par le balai. Mais néanmoins, le sang était clairement visible sur le plancher de la carrosserie, et surtout sur les fractures des planches des brèches décrites. Il y avait une impression que se lavait en général toute l’automobile. Cependant par endroits, par exemple, près des ressorts, il était à la boue…”

Les déclarations de Stepan Ivanovitch Babinov du paysan du village de Koptiaki: “… Il y a chez moi un ami au Verkh-Issetsk Fedor Alexandrovitch Oufimtsev. Il habite dans Verkh-Issetsk à la banlieue près des datchas… Il me et dit: ‘D’où cela merveille?’ Par-devant de moi alors les automobiles couraient, quelque chose tous fermé transportaient. Oui de quoi. À nous, comme 8 heures, ne laissaient pas d’aller des maisons…”

Donc, vivant à la banlieue de Verkh-Issetsk en direction de Koptiaki, Oufimtskev racontait que, à partir de 20.00., à les citadins, ne laissaient pas d’aller sur la rue. Probablement, on introduisait “le couvre-feu”.

L“écrivain Edward Radzinski: “Le fils de tchekiste de Koudrine (le pseudonyme Medvedev) M.M. Medvedev se rappelle: “Le matin le père est venu sur le marché — et de des marchandes locales entendis le récit détaillé et comme ont caché les cadavres de la Famille Tsariste. Est telle la raison véritable, pourquoi avait lieu le deuxième l’inhumation des cadavres.”

E. Radzinski était invité dans le composition de la commission d’enquête 1993, c’est pourquoi était admis vers documents.

Les déclarations inappréciables de Stepan Ivanovitch Babinov: “À Ekaterinbourg les jours du commerce — le mercredi et samedi…”

Grâce à leur, on peut à comprendre la datation des événements. En s’appuyant pour des jours forains, les certains témoins particulièrement interrogés par les premiers, pouvaient se rappeler jours de la semaines et dates de juillet-mois.

“… Pour le jour suivant — le 18 juillet 1918 — en régionale de CE d’Oural s’est trouvée l’information, quoi tout Verkh-Issetsk dit seulement la fusillade de Nikolaï II et ce que les cadavres sont jetés aux les mines laissées, près du village de Koptiaki. Voici à toi et la conspiration! Non autrement, comme quelqu’un des participants de l’inhumation parlait en secret à l’épouse; celle-là — à la “marraine”, et de par tout le district…», — le tchekiste Rodzinski.“La conspiration!” — voici l’essentiel, que devaient respecter les participants de l’opération. Ils n’ont pas pu doucement et en secret passer l’affaire. Les documents confirment que cela non 18 mais le 17 juillet 1918.

“… Ont fait appel sur le séance de la commission extraordinaire de Yourovski. Ont décidé d’expédier la même nuit l’automobile avec Yourovski et Ermakov vers la mine, sortir tout les cadavres et réduire en cendres…” Maintenant la persévérance des déclarations d’Ermakov est claire — “nous avons réduit en cendres de tous”.

Selon la version de Yourovski (1934) “… Philipp [Golochtchekine] a fait appel d’Ermakov, la grondé ferme et a expédié sortir les cadavres…” Probablement, sur le séance de CE ont fait appel ne d’Ermakov mais Yourovski; cela le, probablement, offensaient fortement.

La Commission régionale Extraordinaire expédie Ermakov et Yourovski corriger ses erreurs, et ils reviennent le jour vers mine.

Les déclarations de M.V. Ouskova et I.A. Fessenko

Yourovski cache spécialement la vérité, et pour comprendre le courant des événements, il est nécessaire soigneusement d’étudier les déclarations des témoins oculaires. D’une manière très intéressante analyser les déclarations complétant mutuellement l’un l’autre: de Maria Vassilevna Ouskova et Ivan Arkhipovitch Fessenko.

Les interrogés de par l’affaire criminelle les Ouskov Ivan Vladimirovitch et Maria Vassilevna insistent sur la date notamment le 17 juillet 1918. À titre des arguments pondérables amènent les détails suivants: ils sont effrayés par le défi à CE d’Ivan Vladimirovitch, l’avis est venu avec le retard pour trois jours, se rappellent les jours de la semaine. Dans la ville pendent déjà les annonces sur le compte de l’évacuation, et en la commission où l’épouse d’I.V. Ouskov est venue avec la question régnait l’inquiétude — par tout il n’y a pas jusqu’à elle d’affaire. S'étant réjoui de l’évacuation rapide des bolcheviques, elle est allée sur la station “Isset” chez le mari.

Ouskova Maria Vassilevna: “… J’ai rencontré de deux personnes allant à califourchon sur les chevaux à la rencontre de moi, du village de Koptiaki vers l’usine de Verkh-Issetsk. Elle ne connaissait pas de ces gens jusqu’à cela, mais non loin de la place de sa rencontre avec eux, près du chemin elle a vu de connu de à elle le technicien Ivan Arkadévitch Fessenko (le patronyme véritable Arkhipovitch — auteur) … et a reconnu chez lui quoi cela ont passé les commissaires bolcheviques, de qui de un appellent Yourovski mais d’autre… ne se rappelle pas… En suivant ensuite, elle a rencontré… le Letton qui allait aussi, à cheval de par direction de village Koptiaki vers l’usine de Verkh-Issetsk. Le terrain, où elle a rencontré de ces personnes, elle ne peut pas définir bien, mais c’était après l’usine de Verkh-Issetsk, près de gare d’évitement de ligne d’usine-de montagne de chemin de fer ‘Chouvakich’ ou plus loin de lui vers village Koptiaki. Elle les a rencontré approximativement à 4 heures de l’après-midi…”

Les déclarations de technicien montagnard d’Ivan Fessenko de 23 années pour l’instruction définitive sont très considérables. Il a fait l’inscription sur bouleau vieux près de qui deuxième bûcher divorçait pour la combustion des vêtements des fusillés. De date indiquée sur bouleau dépend la construction de la version des événements se passant sur la mine, à savoir, était ou non Yourovski près de la mine jusqu’au 17 juillet 1918. Et qu’il cache?

Fig. 9.

Avec l’inscription de Fessenko I.A. sur le bouleau il y avait une histoire étrange.

Dans le livre de Prichtchep V. I [L.9], dans “le Procès-verbal” de Nametkine nous lisons: " Le Technicien montagnard N.A. Fedossenko le 14 juillet 1918”. Le nom est déformé, mais la date, probablement, exacte.

Dans le livre de Ross N.G. [L.3] — " Le technicien montagnard I.A. Fessenko le 11 juillet 1918”. Le nom est exactement écrit, mais la date est déformée. (L’auteur s’est heurté une fois notamment à la même erreur des documents d’archive. Le chiffre “4” imprimé par la machine à écrire, était perçu à titre du chiffre “1”, et an “1914” s’est transformé à “1911”).

En choisissant à titre de date authentique la première nous pourrons expliquer la raison des non-coïncidences dans les déclarations des témoins.

Quelques l’investigateurs en s’appuyant sur la date “le 11 juillet” interprètent ce voyage d’Yourovski au la forêt encore avant le meurtre, c’est pourquoi se trouvent dans l’impasse des contradictions. En acceptant la version d’Yourovski quoi il n’arrivait pas auparavant sur la mine, et la date, faite par Fessenko “le 14 juillet”, on réussit pas à pas à débrouiller le pelote des forfaits se passant à terrain “Quatre frères”.

Fig. 10.

Du récit de Fessenko I.A.: “… Une fois pendant les travaux, quand ils s’approchaient vers tournant sur la minière Issetski, sur le terrain près de Quatre Frères, il voyait, à califourchon sur les chevaux des allant de Yourovski et avec lui de deux d’inconnus des personnes d’entre qui d’un les ouvriers appelaient par Ermakov, mais l’autre est l’Autrichien captif, le Magyar… Allaient de par la direction: de l’usine de Verkh-Issetsk vers village Koptiaki et se rencontraient avec eux dans une et demi verstes de gare d’évitement Chouvakich vers Koptiaki… La rencontre avec eux était par soir, approximativement près de 5 de heuresYourovski et Ermakov — ont rebroussé chemin bientôt, mais troisième — le captif — avec eux ne passait pas en arrière…, est allé examiner le chemin…

…Au même jour, quand ces personnes passaient, allaient… avec le cocher la femme d’Ivan Vladimirovitch Ouskov, par qui se sont rencontrés Yourovski et Ermakov. Ouskova a communiqué… que la ville sera évacuée…”

Le gare d’évitement de ligne d’usine-de montagne de chemin de fer est montré sur fig. 11.

Fig. 11.

Ainsi, le 17 juillet 1918 M.V. Ouskova et le cocher rencontrent non loin de gare d’évitement №120 avec de deux gens inconnus allant à cheval. Ayant passé encore un peu, elle rencontre le technicien Fessenko, il communique qu’ici récemment ont passé les commissaires bolcheviques Yourovski et Ermakov. Ayant surmonté encore quelque distance Ouskova rencontre “le Letton”. Selon le témoin de Fessenko, Ermakov et Yourovski peu de temps avant cela allaient en direction du village Kortiaki en compagnie de l’Autrichien captif, mais revenaient bientôt déjà sans lui. Il resta dans la forêt.

Ouskova dit de 4 heures de l’après-midi, Fesenko 5 heures, bien qu’il plus tôt de par temps rencontre les cavaliers. Il n’est pas étonnant que par-dessus beaucoup de mois les gens ne peuvent pas appeler l’heure exacte. Nous rappellerons que par le Décret de bolcheviques le temps récemment était rapproché pour deux heures en avant, les plusieurs ne se sont pas encore habitués à cela et se confondent dans le temps. Les dates ont déplacé pour 13 jours — tout avance circulairement. Le vieux style, le nouveau style, le temps tsariste, le temps décrété.

Il y a encore une confirmation — le troisième témoin.

Le fils du gardien sur le déménagement №184 Vassili Loboukhine: “… le jour ont passé chemin faisant de la ville vers Koptiaki deux à cheval. Un était dans les vêtements de soldat mais je n’ai pas examiné d’autres vêtements… Ceux-ci ont passé et en arrière sont revenus dans la ville le même jour. Quelques heures ont s’est écoulé avant qu’ils sont revenus…”

Donc, selon la décision de CE régionale Ermakov et Yourovski en compagnie du Magyar allaient sur la mine le jour le 17 juillet 1918.

Les “paysans-éclaireurs” revenaient dans village déconcertés et délibéraient la réponse du soldat de l’Armée rouge.

A.A. Cheremetevski à enquêteur Sretenski: “… Le soldat de l’Armée rouge a déclaré, quoi, ne manquent pas puisque se passent dans la forêt des l’études avec les soldats d’Armée rouge…”

L’enquêteur Sretenski dit d’Alferov la fenaison de qui se trouvait dans la semi-verste de mine: “… Le 17 juillet le jour au temps de travail ils entendaient cinq coups de fusil séparés…” Voici commence ici le secret commun d’Ermakov et Yourovski.

…L'écrivain Edward Radzinski admis vers témoignages secrets comme le membre de la commission d’enquête de 1993, dans le livre” Nikolaï II — la vie et la mort”, fait allusion limpide sur le compte de motif, à cause de qui Yourovski jamais ne condamnait pas publiquement les prétentions d’Ermakov au rôle principal en cette opération spéciale. Ce motif existe en effet. Ils tuent les Lettons, qui refusent participer à la fusillade. Seulement par celui-ci peuvent s’expliquer toutes les non-conformités existant et les énigmes dans cette affaire. Tenterons analyser.

L’arithmétique sanglante

D’abord parlons de “l’oubli” de Yourovski. Les témoins accidentels, en se trouvant sur les postes au la nuit de meurtre, et en voyant la fusillade: dans la fenêtre — Deriabine et par-dessus la porte — Klechtchev; entendant de la pièce lointaine, Strekotine — tous appellent la quantité des fusillés: onze.

Fig. 12.

Le dernier de la dynastie les Romanov dirigeant la Russie avec 1613, empereur, qui a abdiqué la couronne — Romanov Nikolaï Alexandrovitch (1868—1918), sa l’épouse — Romanova Alexandra Fedorovna (Alice-Victoria-Elena-Louiza-Beatrisa Hesse-Darmchtadskaïa) (1872—1918). Leurs enfants de Romanova Olga Nilolaévna (1895—1918), Romanova Tatiana Nilolaévna (1897—1918), Romanova Maria Nilolaévna (1899—1918), Romanova Anastassia Nilolaévna (1901—1918), Romanov Alexeï Nikolaévitch (1904—1918). De filles, selon les premières majuscules des noms, dans la famille ont surnommé gaiement — “OTMA”. Cette abréviation aidera à ne pas se tromper avec l’âge: Olga — la aînée, Anastassia — la cadette.

Au total sept membres de la famille tsariste.

Demidova Anna Stepanovna (Stefanovna) (1878—1918) — la noble, la promu de l’institut Smolinyï des jeunes filles nobles, la femme de chambre d’Alexandra Fedorovna, Botkine Evgueni Serguéévitch — le médecin impérial de Nikolaï II (1865—1918), Kharitonov Ivan Mikhaïlovitch (1870—1918) — le maître d’hôtel de la cuisine impériale, Troupp Aloiz Egorovitch (1856—1918) — le valet de la 1-er catégorie de Nikolaï II.

Quatre courtisans. Au total étaient fusillé onze personnes.

“La Note” de Yourovski: “… au total étaient fusillé 12 personnes: N-aï (Nikolaï — auteur), A.F. (Alexandra Fedorovna — auteur), quatre les filles, Tatiana, Olga, Maria et Anastassia, d-r (docteur — auteur) Botkine, le valet Troupp, le cuisinier Tikhomirov, encore le cuisinier et la dame d’honneur, le nom de q-i (de qui — auteur) com. (le commandant — auteur) a oublié/…”

Yourovski même affirmait que le nombre des victimes est égal à nombre des bourreaux.

Pourquoi déjà dès premiers de (1920) souvenirs il a une amnésie? Il substitue un nom Kharitonov pour un nom Tikhomirov, oublie le nom de Demidova et ajoute, de “encore le cuisinier”. À propos, les gardiens simples témoignent: les listes des prisonniers étaient dans la pièce du commandant et, ils n’ont pas oublié leurs noms. Probablement, dès présentation de Yourovski, Demidova s’est transformée en Vyroubova dans les déclarations des ermakovtsky.

Pour le tchekiste sage, rusé, professionnel c’est inadmissible. Pourquoi il commence à s’embrouiller?

Ne pas s’embrouiller, mais embrouiller les traces a l’intention un principal bourreau. Chez les criminels souvent le désir de cacher un le crime, entraîne derrière lui, l’accomplissement des suivants. Notamment le saute-mouton avec la quantité de Lettons et par “l’oubli” trahit de Yourovski.

De Lettons ou le cinq, ou le six, ou le sept, prendre part à la fusillade ont refusé deux de Letton, bien que tous d’autres témoins indiquent sur trois les Lettons. Toutes les non-conformités ultérieures dans les déclarations de Yourovski indiquent, que à cause de la non-exécution d’ordre trois de Letton par lui étaient fusillés. Ils n’ont pas justifié sa confiance.

Dans la foulée, les 17—18 juillet 1918 P. Medvedev raconte aux camarades à Proskouriakov et Yakimov:

— à Proskouriakov: “… Les cadavres sur l’automobile Yourovski a emmené avec les Lettons et Lioukhanov…”

— à Yakimov: “… Avec les cadavres est parti Yourovski et le trois de la personne des Lettons…”

Mais voici sa déclarations dans la prison de Perm le 21 février 1919 au membre du tribunal d’arrondissement d’Ekaterinbourg à Sergueev:

P. Medvedev: “… Sur le camion se sont assis les membres de la commission Extraordinaire et ont emmené les cadavres…

…À trois heures du matin tout était fini et Yourovski est allé au secrétariat…”

Pourquoi Pavel Medvedev change les déclarations sur le départ de Yourovski avec trois Lettons au nuit du meurtre? Probablement, ayant eu peur de une grande quantité de témoins, Yourovski a menacé par la répression pour cause de bavardage. Pour cette raison “Medvedev Pav” apparaît le 18 juillet dans la “Liste de Yourovski”. Déjà dans la prison P. Medvedev raconte au juge d’instruction, comme Golochtchekine et Mratchkovski tentaient de sa se débarrasser (voir le chapitre “… Est qui était rien celui-là deviendra…").

Mais nous reviendrons vers l’arithmétique.

Yourovski: “… Quand je distribuais les rôles, les Lettons ont dit pour que je les aie délivré du devoir tirer sur les jeunes filles, puisqu’ils de ce ne peuvent faire. Alors j’ai décidé pour le meilleur définitivement de libérer ces camarades de la participation à la fusillade, comme des gens, ne capables d’accomplir la dette révolutionnaire au moment le plus décisif…”

Il y a ça comme l’arrêt de mort. Si au moment le plus décisif ces camarades ne sont pas capables d’accomplir la dette révolutionnaire, ils se libèrent définitivement de… la vie.

Nikolaï Alexéévitch Sokolov a interrogé les proches de Yourovski, et la femme du frère a raconté quoi, chez lui était la phrase aimée: “… Est qui n’est pas avec nous est contre nous”.

Du sténogramme de l’interrogatoire d’A.A. Yakimov: “… Est entré dans la pièce du commandant. Là j’ai trouvé Nikouline et deux des Lettons… Dans la pièce du commandant avant le meurtre il y avait un lit et le divan, … il y avait là encore deux lits, sur un d’eux était le Letton. Ensuite Medvedev nous a raconté quoi les Lettons ne veulent plus vivre dans la pièce, où il y avait un meurtre (où eux vivaient plus tôt). Probablement, c’est pourquoi deux lits et étaient transférés à la pièce du commandant…”

“… Medvedev disait que” les Lettons " (au total 10 personnes) pas du tout ne vont vivre plus en bas les maisons…, ils alors sont partis déjà de nouveau dans “la commissionite-extraordinaire”, excepté celles deux qui, probablement, sont restés encore dans la pièce du commandant…”

Donc, un des chefs de la garde extérieure A.A. Yakimov, ayant l’accès à l’intérieur de la maison, voyait là après fusillade seulement deux Lettons. On apportait sur la pièce du commandant seulement deux lits supplémentaires.

Si ont déménagé les autres “Lettons” en arrière à “la commissionite-extraordinaire”, pourquoi nous de rien on ne sait pas sur le retour de leurs les choses, les livrés avant sur la télègue de l’hôtel Américain.

Voilà ici et ont commencé à se répandre comme de la corne d’abondance les informations sur 13 et 14 victimes. Il est nécessaire d’accorder à cela l’attention spéciale, parce que tableau d’inhumations, obstinément caché, s’ouvrira seulement après l’analyse soigneuse de toutes les déclarations testimoniales.

Selon l’arithmétique sanglante d’Yourovski — ont fusillé 12 personnes en plus deux de Letton, qui ont refusé tirer sur les jeunes filles, les quatorze de fusillés au total. Ont fusillé en fait 11 personnes en plus trois de Letton, les quatorze de fusillés au total aussi. La tâche d’Yourovski — déposer l’affolement et la confusion — soit deux, soit trois Lettons refusent de prendre part à la fusillade, de cadavres — soit treize, soit quatorze

Des déclarations du conducteur de la locomotive de Pavel Ivanovitch Loguinov:

“… Une fois je faisais des confidences avec le camarade du président de la commission d’enquête Extraordinaire d’Ekaterinbourg par Sakharov qui m’a raconté en grand secret — il était à la séance résolvant le question sur la fusillade du Tsar ancien et la famille Tsariste. Le même Sakharov racontait que ont décidé de fusiller 14 personnes, mais y compris de Tsar et ancien…”

Donc, celui-ci “le gamin vide” le commandant du bâtiment de CE pouvait entendre sur le compte de la fusillade notamment 14 personnes. Yourovski pouvait rapporter qu’a puni les traîtres de la révolution et a décidé de fusiller 14 personnes. En 1934 il raconte:

“… mais obstinément de désobéissants et fusiller…” Yourovski voulait se servir des pouvoirs illimités donnés à lui en raison de cette mission de parti, et il de nouveau “a décidé lui-même”.

Le commissaire-Letton, faisant le voyage dans le train avec du conducteur de la locomotive Loguinov, approché d’administration de région, le membre de Soviet de région d’Oural répète le récit de Sakharov:

“… Le Souverain… a demandé: “Que, que?"… ont fusillé au total comme si 14 personnes, y compris Vyroubova et le docteur Botkine…”

La confiance à ces déclarations est provoquée par les détails — ce et le nom de Vyroubova et la dernière phrase de Nikolaï Alexandrovitch qui était connue seulement aux participants des événements.

Maintenant sur le compte de déclarations les plus importantes de Prokopi Vladimirovitch Koukhtenkov:

“… Quelques jours avant de la prise de la ville d’Ekaterinbourg par Tchekho-Slovaques, je ne me rappelle pas exactement la date, mais approximativement en 5—6 jours ou huit jours, dans le local du club, dans la pièce sous le nom” le comité du parti”, environ à 4 heures du matin, il y avait le Président du Comité exécutif de V.Issetsk Malychkine Sergueï Pavlovitch; le commissaire militaire Ermakov Petr et de parti les travailleurs-bolcheviques: le monteur (électricien) Partine Nikolaï Serguéévitch; le contremaître de Martin d’aciérie Levatnykh Vassili Ivanovitch; le serrurier d’atelier mécanique Kostoousov Alexandre et Alexandre Ivanovitch, je ne connais pas le nom du dernier, de ceux-ci il y avait 6 personnes, et ils sur quelque chose parlaient confidentiellement… " Nous rappellerons qu’Ekaterinbourg était occupé par Tchekho-Slovaques le 25 juillet.

“… Le lendemain aussi près de 4 heures du matin de nouveau dans la même pièce se sont réunies toutes les personnes indiquées ci-dessus à l’exception de Malychkine… j’ai entendu la phrase fragmentaire de Partine:" … de tous d’eux il y avait treize personnes, le docteur était treizième…”

18+

Книга предназначена
для читателей старше 18 лет

Бесплатный фрагмент закончился.

Купите книгу, чтобы продолжить чтение.